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Fin de saison, Roman

Thomas Vinau

Gallimard

  • Conseillé par (Un Fil à la page)
    16 octobre 2021

    Recommandé par Marjolaine

    " Merci aux inutiles, aux bidons et aux foireux, on vaincra on est plus nombreux "


  • Conseillé par (Librairie Athenaeum)
    13 décembre 2020

    Conseillé par Anne-Céline

    Ah c’est bien beau d’avoir pour héros Bruce Willis période Die Hard ou de fantasmer sur Mad Max, c’est une autre histoire quand la fin du monde c’est tout de suite, maintenant! L’anti-héros du roman de Thomas Vinau, va être confronté à la réalité d’être coincé dans son garage avec un lapin tandis que le monde s’écroule! Et difficile de se résoudre à manger des insectes et boire son pipi... Un roman hilarant par son style, sa verve et la philosophie d’apocalypse (de comptoir!) de notre Jason Statham de bas étage. Amateurs d’humour noir, survivalistes, collapsologues... ce livre devrait être en dessous de votre sapin de Noël de cette extraordinaire année 2020!


  • Conseillé par (Les Lisières à Villeneuve d'Ascq)
    19 novembre 2020

    Survivalisme en cave

    Victor s’y est préparé avec son catakit (oui, oui, un kit de survie en cas de catastrophe), et voilà qu’un jour de tempête, il se retrouve enfermé, coincé dans sa cave avec son chien, son lapin ...et son catakit.
    Mais a-t-il bien préparé ce qu’il fallait ? Va-t-il réussir à survivre comme il a réussi à vivre ? D’ailleurs, a-t-il bien réussi à vivre ? Victor, anti-héros drôle, touchant et un peu loser va se retrouver seul (ou presque) face à lui-même.
    Un roman décalé et introspectif sur le sens de la vie et de ce que l’on en fait...


  • Conseillé par
    30 avril 2021

    Mon deuxième Thomas Vinau.
    Je vois dans les critiques qu'il n'a pas toujours été bien perçu.
    Il ne ressemble pas au premier, c'est sûr.
    Personnellement, j'ai beaucoup aimé.
    Ce que l'on ne retrouve pas en poésie, on le trouve en humour.
    Quoique la poésie soit sous-latente sous une apparente grossiéreté.
    Un père de famille aimant mais plutôt inactif se retrouve enfermé dans une cave avec le chien et le lapin de la maison.
    Une terrible tempête semble avoir tout détruit à l'extérieur.
    De vivant à moitié, le voilà devenu survivant à part entière.
    Amateur de films catastrophes, son imagination déborde.
    J'ai adoré sa manière d'aborder le événements
    Dehors comme dans la cave, comme dans sa tête, c'est un véritable bordel cataclysmique.
    Et ça l'entraîne loin dans ses réflexions sur sa vie.
    Le style est impeccable.
    Direct, implacable.
    A travers quelques mots un peu crus pointe une réelle sensibilité.
    Le narrateur est un véritable loser au cœur tendre.
    Un anti-héros sentimental qui dispose heureusement d'un tonneau d'eau de vie pour survivre.


  • Conseillé par (Librairie L'Armitière)
    21 octobre 2020

    « Ouvrir les yeux. Malgré tout. Les brûler dans la lumière. Enfin. »

    Un jour de semaine, tout s’effondre pour Victor, il en est persuadé c’est la fin du monde. Il se réfugie alors dans sa cave avec son chien, son lapin et son catakit (un catakit vous me direz ? Oui, un kit de survie en cas de catastrophe.)

    Victor se demande alors, est-ce un bon survivant ? Était-il même un bon vivant ? Au fond de son trou, il entame l’inventaire de sa vie, chaque étagère poussiéreuse de son être est passée au crible. Que nous reste-t-il quand tout s’écroule ? Que ferait Mike Horn ? Cono le lapin survivra-t-il ? Et Madeleine ? Et les enfants ?

    D'une écriture incisive, drôle et presque frénétique, Thomas Vinau réussit l’exercice, on s’y reconnaît, on se questionne, on rit, on fronce les sourcils, on est surpris. Un portrait profond d’un monsieur tout le monde face à lui même, traduction d’une introspection à laquelle nous avons tous fait face durant le confinement de cette année. À lire !