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  • Une très bonne trilogie, et un tome final à la hauteur.

    Quel final, mais quel final ! Le Sanreth est sur le trône, pantin de la reine Welfendà et protégé par les terribles Chimères. Cela ne décourage pourtant pas Mydria qui continue son combat et cherche à le renverser. Pour cela, elle a besoin d’une armée et de soutiens. Quoi qu’il en soit, elle peut compter sur Orest et Allian, mais également sur Kebren, dernière venue.

    Ce troisième tome clôt parfaitement la saga. Il y a beaucoup d’actions, de péripéties et surtout de rebondissements. Il faut avoir le cœur bien accroché ! Pas contre, j’ai trouvé la fin un peu rapide. Ou peut-être étais-je tellement plongée dans le livre que je n’ai pas vu venir la fin… et que j’ai été prise par « surprise ».

    Mydria est toujours aussi touchante et attachante. Elle traverse les épreuves avec beaucoup de bravoure. Mais heureusement qu’Orest est là pour la soutenir et l’aider. Ce personnage est sans conteste mon préféré. Au fil des tomes, et au contact de Mydria, il s’humanise sans pour autant abandonner son côté sans foi ni loi lorsque c’est nécessaire. J’ai eu l’impression qu’Allian était un peu plus effacé dans ce tome-ci, ce que je trouve dommage car c’est un personnage sympathique.

    Au final, l’auteur ne m’a pas déçue. Depuis le premier tome elle ne cesse de me surprendre. Elle n’est pas tendre avec ses personnages, ce qui fait la qualité de cette trilogie car cela lui donne de la crédibilité : la vie est dure. Mais il y a aussi de la place pour l’amitié et l’amour, malgré la guerre et les menaces qui pèsent sur notre groupe de compagnons.