- EAN13
- 9782760623750
- Éditeur
- Presses de l'Université de Montréal
- Date de publication
- 26/05/2011
- Collection
- Espace littéraire
- Langue
- français
Mon cher Maître. Lettres d'Ernest Vizetelly à Émile Zola, 1891-1902
Speirs, Dorothy et Yannick Portebois
Presses de l'Université de Montréal
Espace littéraire
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782760623750
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
17.99
Ernest Alfred Vizetelly (1853-1922), traducteur et lui-même écrivain, fut
l'indispensable relais entre le public de langue anglaise et l'œuvre d'Émile
Zola. Entre 1891 et 1902, il traduisit presque toute la série des Rougon-
Macquart, Les Trois Villes et Les Quatre Évangiles. Il publia également des
entrevues avec l'écrivain dans divers journaux britanniques, protégea les
droits d'auteur de Zola sur le marché américain et fut un allié fidèle lors de
l'affaire Dreyfus, alors que le romancier était en exil en Angleterre. La
correspondance jette une lumière nouvelle sur l'univers de la traduction
littéraire au tournant du siècle. Elle éclaire également les modalités du
commerce du livre, dans le sillage de la Convention de Berne, à une époque où
il n'y avait que deux courriers par semaine entre Londres et New York, où la
machine à écrire faisait son apparition, où le feuilleton dans les quotidiens
était roi…
l'indispensable relais entre le public de langue anglaise et l'œuvre d'Émile
Zola. Entre 1891 et 1902, il traduisit presque toute la série des Rougon-
Macquart, Les Trois Villes et Les Quatre Évangiles. Il publia également des
entrevues avec l'écrivain dans divers journaux britanniques, protégea les
droits d'auteur de Zola sur le marché américain et fut un allié fidèle lors de
l'affaire Dreyfus, alors que le romancier était en exil en Angleterre. La
correspondance jette une lumière nouvelle sur l'univers de la traduction
littéraire au tournant du siècle. Elle éclaire également les modalités du
commerce du livre, dans le sillage de la Convention de Berne, à une époque où
il n'y avait que deux courriers par semaine entre Londres et New York, où la
machine à écrire faisait son apparition, où le feuilleton dans les quotidiens
était roi…
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