- Format
- Broché
- EAN13
- 9782080672582
- ISBN
- 978-2-08-067258-2
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 11/1998
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 276
- Dimensions
- 21 x 13,5 x 2 cm
- Poids
- 270 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
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- Format
- in8. 2000. broché. 274 pages. Joëlle et Eric son mari sont deux vrais fous de maisons. Ils ont le virus. Après la bâtisse en banlieue et la fermette normande la fièvre ne les lâche pas. Ils se lancent dans un projet insensé : construire de A à Z sur un terrain pentu de la côte de l'Esterel ce qui sera la Maison de leurs rêves. Alors les ennuis commencent. Magazines de déco trompeurs maisons-témoins sinistres devis contradictoires architectes illuminés ou têtus entrepreneur dépressif maçon jouant la fille de l'air avant le hors d'eau... rien ne leur est épargné. Faut-il ou non une piscine ? Doit-on échanger cacahuètes et apéritif avec des voisins ? A quoi sert-il de hanter les vide-greniers ? Plus proche de Laurel et Hardy que de Le Corbusier le couple se pose entre autres ces questions existentielles. Son histoire confondue avec celle d'une maison improbable rejoint le fantasme manoir de tout le monde. Elle est triste à pleurer de rire
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Joëlle et Eric, son mari, sont deux vrais fous de maisons. Ils ont le virus. Après la bâtisse en banlieue et la fermette normande, la fièvre ne les lâche pas. Ils se lancent dans un projet insensé : construire de A à Z, sur un terrain pentu de la côte de l'Esterel, ce qui sera la Maison de leurs rêves. Alors les ennuis commencent. Magazines de déco trompeurs, maisons-témoins sinistres, devis contradictoires, architectes illuminés ou têtus, entrepreneur dépressif, maçon jouant la fille de l'air avant le «hors d'eau»... rien ne leur est épargné. Faut-il ou non une piscine ? Doit-on échanger cacahuètes et apéritif avec des voisins ? A quoi sert-il de hanter les «vide-greniers» ? Plus proche de Laurel et Hardy que de La Corbusier, le couple se pose, entre autres, ces questions existentielles. Son histoire, confondue avec celle d'une maison improbable, rejoint le «fantasme manoir» de tout le monde. Elle est triste à pleurer de rire.
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