- Format
- Broché
- EAN13
- 9782367178684
- ISBN
- 978-2-36717-868-4
- Éditeur
- Chronique sociale
- Date de publication
- 12/05/2022
- Collection
- PEDAGOGIE FORMA
- Dimensions
- 22 x 15 x 1,2 cm
- Poids
- 304 g
- Langue
- français
Enseigner l'histoire
Enjeux et défis
De Marc-André Éthier, Alain Dalongeville, David Lefrançois
Chronique sociale
Pedagogie Forma
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Ce livre fait le point sur les principaux débats qui agitent didacticiens, pédagogues et enseignants d'histoire, et prend en compte les avancées didactiques.
Ce livre a bien évidemment des partis pris et les auteurs les annoncent au lecteur. Un parti pris philosophique qui repose sur le pari que l'échec des élèves comme celui des enseignants
n'est en rien une fatalité, qu'il ne peut être que passager pour peu que les uns et les autres le décident. Un parti pris constructiviste qui refuse que l'histoire scolaire soit limitée à la
seule activité de mémorisation qui constitue, à leur sens, la négation même de la Mémoire qui, au contraire, est tissée des interrogations que les élèves, en l'espèce, ont la capacité de
poser au passé à condition que les représentations qu'ils en ont soient au centre du travail pédagogique.
Le premier débat est centré sur la question de la finalité de l'histoire scolaire. Pour ce faire, l'histoire scolaire doit se poser la question de pratiques, et c'est un deuxième débat, qu'elles soient cohérentes avec le but visé. Pourquoi reposer la question du récit ? Parce que, et c'est le troisième débat, malgré son retour en grâce, la nature et la fonction de
l'histoire scolaire ne peuvent ignorer l'usage des concepts. Le quatrième débat porte sur la cohérence des pratiques et des objectifs assignés à l'histoire scolaire.
Ce livre a bien évidemment des partis pris et les auteurs les annoncent au lecteur. Un parti pris philosophique qui repose sur le pari que l'échec des élèves comme celui des enseignants
n'est en rien une fatalité, qu'il ne peut être que passager pour peu que les uns et les autres le décident. Un parti pris constructiviste qui refuse que l'histoire scolaire soit limitée à la
seule activité de mémorisation qui constitue, à leur sens, la négation même de la Mémoire qui, au contraire, est tissée des interrogations que les élèves, en l'espèce, ont la capacité de
poser au passé à condition que les représentations qu'ils en ont soient au centre du travail pédagogique.
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