Aux sources de l'inspiration
L’écrivain, le poète, le peintre, le graveur, face à l’inconscient
Jean-Claude Rolland
Ithaque
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
« A-t-on besoin de l’hypothèse de l’inconscient pour lire ou aimer un poème ou toute œuvre esthétique ? Oui ! Si elle nous aide à faire apparaître ce qu’un texte contient de latent, de refoulé sous son discours immédiat, si riche soit-il en tant que tel. Non ! bien sûr, s’il doit réduire son mystère et sa portée.
Inspirée, l’œuvre est soutenue par un besoin vital d’écrire, de composer. Nous retrouvons ce besoin dans la cure, dans cette contrainte, et cette autorisation, où est le patient de parler – de lui, de son enfance, de ses objets,
de les retrouver ou de les reconstruire. J’ai parlé à ce sujet d’une « compulsion de représentation » qui se substitue dans le champ du langage à ce qui contraint ce même patient à répéter dans ses actes, dans son corps, dans ses symptômes, ce qu’il a souffert enfant... »
Inspirée, l’œuvre est soutenue par un besoin vital d’écrire, de composer. Nous retrouvons ce besoin dans la cure, dans cette contrainte, et cette autorisation, où est le patient de parler – de lui, de son enfance, de ses objets,
de les retrouver ou de les reconstruire. J’ai parlé à ce sujet d’une « compulsion de représentation » qui se substitue dans le champ du langage à ce qui contraint ce même patient à répéter dans ses actes, dans son corps, dans ses symptômes, ce qu’il a souffert enfant... »
S'identifier pour envoyer des commentaires.