- Format
- Poche
- EAN13
- 9782850258282
- ISBN
- 978-2-85025-828-2
- Éditeur
- Hazan
- Date de publication
- 03/10/2002
- Collection
- Monographie
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 31 x 26 x 2,7 cm
- Poids
- 2320 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 759.2
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Vendu par Librairie de l'Avenue
- Description
- In-4 relié 31,8 cm sur 27,2. 300 pages. Bon état d’occasion
- État de l'exemplaire
- BE
- Taille
- in-4°
- Reliure
- Couverture rigide
53.00 (Occasion)
C'est à une redécouverte radicale du génie singulier de Constable qu'invite cette monographie. Les études sur John Constable souffrent aujourd'hui, tant en Angleterre qu'en France, d'un étrange paradoxe : rares sont les artistes sur lesquelles on dispose d'autant de sources premières, et pourtant, l'appréciation de son oeuvre reste encore trop souvent confinée dans un malentendu.
En France, où se tiendra cette année la première exposition Constable depuis la présentation de quelques toiles au Salon de 1824, l'oeuvre est mal connue, et souvent pensée comme une survivance d'un courant naturaliste à un moment où un autre peintre, Turner, jette les bases d'un nouvel art moderne.
En Angleterre, si la situation n'est pas comparable, ne serais-ce qu'en raison de l'abondance des oeuvres présentes dans des collections publiques, l'art de Constable est cependant fréquemment présenté comme l'archétype de ce que Pevsner avait autrefois appelé "the Englishness of English Art".
Le présent essai se propose de revenir, par un aller-retour permanent entre les oeuvres et les écrits de l'artistes, aux caractéristiques originales de son art donnant une place particulière à ces genres dits mineurs - dessins, études, gravures - auxquels le peintre accorda une importance considérable.
On pourra saisir ce qui fut la quête, à contre-courant de l'esthétique de son temps, d'un homme qui, de son vivant déjà, acquit une solide réputation de "génie" singulier et incompris.
Après avoir tenté de montrer comment cette réputation procède en grande partie des choix esthétiques de Constable, mais aussi de la façon dont lui-même et son entourage ont gérés la réception de son oeuvre. l'auteur explique en quoi le paysage auquel le peintre consacre l'essentiel de son existence ne saurait se réduire ni au "sublime" d'un Turner ni au "pittoresque" de l'école de Norwich, mais émane d'une conception nouvelle, dans laquelle considérations esthétiques, historiques et affectives viennent se mêler.
En France, où se tiendra cette année la première exposition Constable depuis la présentation de quelques toiles au Salon de 1824, l'oeuvre est mal connue, et souvent pensée comme une survivance d'un courant naturaliste à un moment où un autre peintre, Turner, jette les bases d'un nouvel art moderne.
En Angleterre, si la situation n'est pas comparable, ne serais-ce qu'en raison de l'abondance des oeuvres présentes dans des collections publiques, l'art de Constable est cependant fréquemment présenté comme l'archétype de ce que Pevsner avait autrefois appelé "the Englishness of English Art".
Le présent essai se propose de revenir, par un aller-retour permanent entre les oeuvres et les écrits de l'artistes, aux caractéristiques originales de son art donnant une place particulière à ces genres dits mineurs - dessins, études, gravures - auxquels le peintre accorda une importance considérable.
On pourra saisir ce qui fut la quête, à contre-courant de l'esthétique de son temps, d'un homme qui, de son vivant déjà, acquit une solide réputation de "génie" singulier et incompris.
Après avoir tenté de montrer comment cette réputation procède en grande partie des choix esthétiques de Constable, mais aussi de la façon dont lui-même et son entourage ont gérés la réception de son oeuvre. l'auteur explique en quoi le paysage auquel le peintre consacre l'essentiel de son existence ne saurait se réduire ni au "sublime" d'un Turner ni au "pittoresque" de l'école de Norwich, mais émane d'une conception nouvelle, dans laquelle considérations esthétiques, historiques et affectives viennent se mêler.
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