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Seule dans le vent des glaces
Format
Broché
EAN13
9782221092002
ISBN
978-2-221-09200-2
Éditeur
Robert Laffont
Date de publication
Nombre de pages
256
Dimensions
24,1 x 15,5 x 2,1 cm
Poids
418 g
Langue
français
Code dewey
919.89

Seule dans le vent des glaces

De

Robert Laffont

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  • Vendu par Librairie Le Préau et la Cour des Grands
    20.50

  • Vendu par Librairie David Long
    État de l'exemplaire
    Bon Etat
    Format
    in8. 2000. Broché. 229 pages. Le 23 novembre 1999 après trois semaines d'attente Laurence de La Ferrière quitte le pôle Sud pour 3 000 km de désert blanc. Avec un traîneau de 140 kg de vivres et de matériel. Deux jours après le départ ses orteils sont pris par le froid sa tente laisse passer le vent et la neige... La galère ne fait que commencer. Pour elle les premiers jours forcément les plus difficiles sont tout simplement vécus comme des "rites de passage". Ses filles qu'elle n'appelle qu'une fois par semaine ses amis les personnes qui l'ont aidée dans sa préparation sont justement là pour lui donner le courage et la force d'avancer. Avancer avancer avancer grisée par le vent la vitesse le froid... pour découvrir l'absolue pureté d'un paysage immaculé : "Être le premier être humain à poser les pieds sur une terre totalement vierge voir ce que personne n'a jamais vu jusqu'à présent." Et vivre en osmose avec les éléments dans un sentiment de liberté absolue : "Je communiais avec la glace et le vent." Entre émerveillement et souffrances voilà le journal au jour le jour d'une femme - exceptionnelle - "Seule dans le vent des glaces" durant presque quatre mois. Pour compléter ce témoignage les documents placés en annexe permettent d'en savoir plus sur l'Antarctique : faune et flore climat vie au quotidien... À lire bien emmitouflé ! --Fabienne Boisnard
    3.90 (Occasion)

Une formidable aventure humaine et scientifique, le " journal de bord " d'un défi insensé, la quête d'absolu d'une femme qui a su aller au bout de son rêve...
" Sous la tente, chaque soir, j'écrirai mon journal de bord. Ce journal sera mon seul ami, mon confident ", déclarait Laurence de la Ferrière quelques jours avant son départ. Aujourd'hui, Seule dans le vent des glaces, inspiré de ce journal de bord, retrace l'histoire d'un triple défi. Le défi sportif, bien sûr, de parvenir à parcourir en un temps limité 3000 km du continent blanc, dont 1800 totalement inexplorés, par des températures pouvant descendre jusqu'à - 50 °C. Le défi scientifique : prélever pour la première fois sur ce sol des carottes de glace afin d'en apprendre plus sur l'histoire du climat, rapporter des météorites d'une partie du globe où, pour cause, on n'en avait jamais trouvé une, et relever les réactions physiologiques à des températures extrêmes. Mais aussi le défi humain de tenter cet exploit en solitaire ; c'est-à-dire avec le strict minimum d'assistance. Le 23 novembre 1999, Laurence de la Ferrière quittait donc le pôle Sud pour la première étape de sa traversée, Dôme C, 1664 km plus loin, avec, pour avancer, une paire de skis, trois paires de voiles de différentes tailles, une boussole, une carte et une balise GPS signalant sa progression. Et, dans le traîneau de 140 kg qu'elle tirait, harnaché à ses reins sur ses six couches de vêtements antifroid, vivres et matériel calculés au gramme près pour lui permettre de tenir sans être ravitaillée durant ces trois mois de solitude absolue : aliments lyophilisés, réchaud à gaz et réserves de carburant, duvet, tente, lecteur de CD et CD choisis par ses filles..., sans oublier son fameux journal de bord. Seul lien la rattachant à la civilisation, un téléphone satellite. Au jour le jour, Laurence de la Ferrière raconte les aléas, les espoirs, les dangers, les peurs et l'excitation qui ont rythmé cette aventure unique. Le découragement du début, quand le mauvais temps, l'absence de vent, la neige collante et des vagues de glace très dures l'ont obligée à marcher, lui provoquant des engelures et ralentissant sa progression. Son émerveillement le matin où, aussi étonnée qu'elle de rencontrer âme qui vive sur cette terre de grand dénuement, elle voit une sorte de mouette se poser non loin d'elle. Sa fierté d'explorer l'un des derniers endroits au monde où aucun humain avant elle n'avait mis le pied. Sa joie d'atteindre Dôme C le 30 décembre 1999 et de fêter l'an 2000 en compagnie des chercheurs de la base. Son angoisse le soir où sa tente a failli prendre feu. Son interminable attente avant de pouvoir parcourir les 300 derniers kilomètres de sa traversée, coincée par des vents violents soufflant à près de 200 km/h. Ou encore le sentiment magique de " voler sur la glace " quand elle pouvait utiliser ses voiles... Au-delà d'une véritable épopée des Temps modernes, la rencontre d'une femme d'exception avec ce qu'elle porte de plus profond en elle fait de ce récit un document passionnant.
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