- Format
- Broché
- EAN13
- 9782749105017
- ISBN
- 978-2-7491-0501-7
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 12/01/2006
- Collection
- CODE SERIEL ADP
- Nombre de pages
- 200
- Dimensions
- 24,1 x 15,7 x 1,9 cm
- Poids
- 310 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 365.44
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Démons et merveilles
- État de l'exemplaire
- french édition -Le livre présente des rousseurs plis marques de stockage et/ou de lecture sur la couverture et/ou sur les pourtours mais en assez bon état d'ensemble - Expédition soignée sous blister dans une enveloppe à bulles depuis la Fran
- Format
- 23x15x2cm. 2006. Broché. 204 pages.
6.00 (Occasion)
Loïk Le Floch-Prigent, ancien président de Rhône-Poulenc, d'Elf-Aquitaine, de Gaz de France et de la SNCF, a fait deux séjours en prison, le premier en 1996, le second en 2003-2004.
À Fresnes, seul dans une cellule ordinaire où il est resté plus d'un an, il a pu observer le fonctionnement de la prison avec un œil d'industriel.
Quelle organisation ? Quelle efficacité du système carcéral dans cet établissement considéré comme modèle en 1898 ?
Son constat fait froid dans le dos : brimades, humiliations, vexations, fabrique de délinquants et de bombes humaines.
Pour l'homme d'entreprise, l'absence de résultats positifs condamne l'institution et rend nécessaire une remise à plat.
Faut-il mélanger grands criminels, petits dealers, grands bandits, violeurs, pédophiles ? Sûrement pas ! Alors, pourquoi le fait-on ? Est-on, en sortant de prison, apte ou non à revenir à la vie sociale ? Cette question ne se pose plus. Même les liens familiaux se fragilisent et souvent se cassent. Pour la grande majorité des détenus, petits délinquants, inadaptés de la vie, la prison ne conduit pas à un nouveau départ : c'est le début d'une chute perpétuelle.
Pour la société inquiète qui cherche à se protéger, la prison est aujourd'hui la pire des solutions.
Spécialisation des établissements par type de délits impliquant des atteintes aux personnes pour les uns, peines alternatives permettant le maintien des attaches familiales et professionnelles pour les autres : voilà quelques-unes des solutions proposées par Loïk Le Floch-Prigent pour une démocratie moderne.
À Fresnes, seul dans une cellule ordinaire où il est resté plus d'un an, il a pu observer le fonctionnement de la prison avec un œil d'industriel.
Quelle organisation ? Quelle efficacité du système carcéral dans cet établissement considéré comme modèle en 1898 ?
Son constat fait froid dans le dos : brimades, humiliations, vexations, fabrique de délinquants et de bombes humaines.
Pour l'homme d'entreprise, l'absence de résultats positifs condamne l'institution et rend nécessaire une remise à plat.
Faut-il mélanger grands criminels, petits dealers, grands bandits, violeurs, pédophiles ? Sûrement pas ! Alors, pourquoi le fait-on ? Est-on, en sortant de prison, apte ou non à revenir à la vie sociale ? Cette question ne se pose plus. Même les liens familiaux se fragilisent et souvent se cassent. Pour la grande majorité des détenus, petits délinquants, inadaptés de la vie, la prison ne conduit pas à un nouveau départ : c'est le début d'une chute perpétuelle.
Pour la société inquiète qui cherche à se protéger, la prison est aujourd'hui la pire des solutions.
Spécialisation des établissements par type de délits impliquant des atteintes aux personnes pour les uns, peines alternatives permettant le maintien des attaches familiales et professionnelles pour les autres : voilà quelques-unes des solutions proposées par Loïk Le Floch-Prigent pour une démocratie moderne.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
2,50Loïk Le Floch-Prigent
-
Neuf 20,90Occasion 14,00Loïk Le Floch-Prigent