- Format
- Broché
- EAN13
- 9782862741338
- ISBN
- 978-2-86274-133-8
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 05/1988
- Collection
- Collection Les pensées
- Nombre de pages
- 191
- Dimensions
- 21 x 13,5 x 1,6 cm
- Poids
- 236 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 844.8
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R150203613: 191 pages COLLECTION LES PENSEES In-8 Broché. Bon état. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Intérieur frais Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes
- État de l'exemplaire
- Bon état
- Format
- In-8
- Reliure
- Broché
29.80 (Occasion)
Surnommé en son temps "le Prince de l'esprit", Alfred Capus présentait, jusqu'ici, cette double caractéristique d'être à la fois "immortel" et oublié. Immortel, il l'est pour la vie ; nous n'y pouvons rien. Oublié, cela était inacceptable.
Voilà donc, soixante-cinq ans après la mort de 'l'immortel', la quintessence de l'esprit "capusien" dont on appréciera la finesse, le brillant et la causticité la plus lucide, ainsi :
"Combien de gens ne se brouillent que parce qu'ils ont des amis communs!"
"Il ne suffit pas de dire : "Un tel est arrivé". Il faut encore voir dans quel état."
"Ne laissons jamais traîner un mot, une idée devant certains esprits. Il ne faut pas tenter les pauvres."
La réflexion pesée de Capus fait mouche comme un coup de rapière, sans parler de ses réparties dont on avait du mal à se relever. Le lecteur comprendra vite combien cet "oublié" est, en réalité, inoubliable.
Voilà donc, soixante-cinq ans après la mort de 'l'immortel', la quintessence de l'esprit "capusien" dont on appréciera la finesse, le brillant et la causticité la plus lucide, ainsi :
"Combien de gens ne se brouillent que parce qu'ils ont des amis communs!"
"Il ne suffit pas de dire : "Un tel est arrivé". Il faut encore voir dans quel état."
"Ne laissons jamais traîner un mot, une idée devant certains esprits. Il ne faut pas tenter les pauvres."
La réflexion pesée de Capus fait mouche comme un coup de rapière, sans parler de ses réparties dont on avait du mal à se relever. Le lecteur comprendra vite combien cet "oublié" est, en réalité, inoubliable.
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