Le vieil homme qui vendait du thé
excentricité et retrait du monde dans le Japon du XVIIIe siècle
De François Lachaud
Cerf
Histoire
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Le Vieil Homme qui vendait du thé est un ancien moine bouddhiste, revenu à la vie laïque, qui trouve dans cette nouvelle activité l'occasion à la fois de " se retirer du monde " et de poursuivre des échanges agréables avec ceux qui fréquentent sa boutique, attirés par sa sagesse et sa culture. Nous sommes au Japon, à Kyoto, au XVIIIe siècle, à l'apogée de l'ère d'Edo. À travers cet " excentrique exemplaire " –; Socrate extrême-oriental –; et avec l'étude de la civilisation d'Edo, c'est un pan extrêmement attachant de la culture japonaise que nous décrit avec brio et enthousiasme François Lachaud, proposant ainsi une réflexion passionnante sur les rapports entre excentricité et ascèse, qui met à mal les clichés occidentaux. -- Japan, Kyoto, in the 18th century, at the height of the Edo period. The old tea merchant of the title is a former Buddhist monk who has returned to a secular life and finds in his new occupation an opportunity to 'retreat from the world' while maintaining pleasant conversation with those who visit his shop, drawn by his wisdom and his learning. Via this 'exemplary eccentric' - a sort of Far Eastern Socrates – and his study of the Edo civilisation, François Lachaud brilliantly evokes a particularly appealing part of Japanese culture, by presenting an enthusiastic reflection on the relations between eccentricity and asceticism which belies Western clichés.
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