- Format
- Objet (globe terrestre, sous-mains, etc.)
- EAN13
- 9782757403648
- ISBN
- 978-2-7574-0364-8
- Éditeur
- Presses Universitaires du Septentrion
- Date de publication
- 15/02/2012
- Collection
- Littératures
- Nombre de pages
- 238
- Dimensions
- 24 x 16 x 1,3 cm
- Poids
- 302 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 848.91
Lire les Carnets d'Albert Camus
Édité par Agnès Spiquel, Anne Prouteau
Presses Universitaires du Septentrion
Littératures
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Albert Camus a vingt-deux ans quand il commence à écrire régulièrement dans
ses «Cahiers» ; il ne cessera pas jusqu'à sa mort. Il en préparait alors la
publication ; elle sera posthume, sous le titre de Carnets. Ces textes, aussi
inclassables que divers (laboratoire de l'œuvre, « choses vues », notes de
lectures, impressions de voyages, réflexions philosophiques et, de plus en
plus vers la fin de sa vie, notations intimes) sont souvent cités ; ils
n'avaient jamais été étudiés en tant que tels. Ils le sont ici, par des
chercheurs d'horizons divers, qui interrogent les modalités et les enjeux de
cette écriture très spécifique.
Les Carnets prennent ainsi toute leur place dans l'œuvre camusienne, dont ils
mettent au jour les ressorts secrets. Au cœur de cette écriture fragmentaire,
l'exigence artistique de Camus est aussi manifeste qu'ailleurs ; et c'est à
ses Carnets qu'en 1937 – il a alors vingt-quatre ans – il confie sa certitude,
qui ne se démentira pas : « Écrire, ma joie profonde ! ».
Lire les Carnets se révèle indispensable pour qui veut vraiment connaître
Camus...
ses «Cahiers» ; il ne cessera pas jusqu'à sa mort. Il en préparait alors la
publication ; elle sera posthume, sous le titre de Carnets. Ces textes, aussi
inclassables que divers (laboratoire de l'œuvre, « choses vues », notes de
lectures, impressions de voyages, réflexions philosophiques et, de plus en
plus vers la fin de sa vie, notations intimes) sont souvent cités ; ils
n'avaient jamais été étudiés en tant que tels. Ils le sont ici, par des
chercheurs d'horizons divers, qui interrogent les modalités et les enjeux de
cette écriture très spécifique.
Les Carnets prennent ainsi toute leur place dans l'œuvre camusienne, dont ils
mettent au jour les ressorts secrets. Au cœur de cette écriture fragmentaire,
l'exigence artistique de Camus est aussi manifeste qu'ailleurs ; et c'est à
ses Carnets qu'en 1937 – il a alors vingt-quatre ans – il confie sa certitude,
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