- EAN13
- 9782764643815
- Éditeur
- Éditions du Boréal
- Date de publication
- 17/04/2015
- Collection
- Romans et récits
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Boréal 14,99
Qu’ont en commun l’hassid de la rue Durocher se pressant vers la synagogue,
l’artiste qui donne une performance au Quartier des spectacles et la foule au
Centre Bell, galvanisée par un but des Canadiens ? Ils ont Montréal. Ils ont
la ferveur, l’appel au dépassement qui palpite dans le sol montréalais. Un
gisement mystique est bel et bien enfoui sous les artères de Montréal depuis
que Jeanne Mance, empreinte d’absolu, est venue il y a plus de trois cents ans
et y a laissé son cœur. Avec ce roman d’aventures multiples et d’êtres
intenses, Monique Proulx nous propose une brûlante réflexion sur les liens qui
nous unissent aux origines. Laurel, hanté par Jeanne Mance autant que par sa
quête d’identité, est celui qui nous guide dans un Montréal hivernal illuminé
par sa Nuit blanche, son verglas historique, ses festivals, sa révolution
avortée et surtout ses acteurs : Françoise, la matriarche pure laine toujours
incisive bien que morte, Markus, qui s’est enfui de sa communauté hassidique,
Gaby, qui tente d’enseigner le français à des immigrants vulnérables, Thomas,
le scénariste à la dévastation bien camouflée, Guillaume, le prêtre exorciste,
Virginie, l’ex-nonne rebelle, Khaled, le restaurateur soufi, Charlie,
l’itinérant inuit, Tobi, le Mohawk, chamane à ses heures… Toutes ces voix et
d’autres aussi grandes que nature viennent fusionner pour nous livrer une
symphonie poignante qui s’appelle Montréal. « Ce qu’ il reste de moi » est
l’oeuvre d’une grande romancière au sommet de son art.
*[XVIIIe]: 18e siècle
l’artiste qui donne une performance au Quartier des spectacles et la foule au
Centre Bell, galvanisée par un but des Canadiens ? Ils ont Montréal. Ils ont
la ferveur, l’appel au dépassement qui palpite dans le sol montréalais. Un
gisement mystique est bel et bien enfoui sous les artères de Montréal depuis
que Jeanne Mance, empreinte d’absolu, est venue il y a plus de trois cents ans
et y a laissé son cœur. Avec ce roman d’aventures multiples et d’êtres
intenses, Monique Proulx nous propose une brûlante réflexion sur les liens qui
nous unissent aux origines. Laurel, hanté par Jeanne Mance autant que par sa
quête d’identité, est celui qui nous guide dans un Montréal hivernal illuminé
par sa Nuit blanche, son verglas historique, ses festivals, sa révolution
avortée et surtout ses acteurs : Françoise, la matriarche pure laine toujours
incisive bien que morte, Markus, qui s’est enfui de sa communauté hassidique,
Gaby, qui tente d’enseigner le français à des immigrants vulnérables, Thomas,
le scénariste à la dévastation bien camouflée, Guillaume, le prêtre exorciste,
Virginie, l’ex-nonne rebelle, Khaled, le restaurateur soufi, Charlie,
l’itinérant inuit, Tobi, le Mohawk, chamane à ses heures… Toutes ces voix et
d’autres aussi grandes que nature viennent fusionner pour nous livrer une
symphonie poignante qui s’appelle Montréal. « Ce qu’ il reste de moi » est
l’oeuvre d’une grande romancière au sommet de son art.
*[XVIIIe]: 18e siècle
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