- Format
- Broché
- EAN13
- 9782940195961
- ISBN
- 978-2-940195-96-1
- Éditeur
- Publications de la Section des sciences de l'éducation - Université de Genève
- Date de publication
- 25/06/2020
- Collection
- Cahiers de la Section des sciences de l'éducation
- Nombre de pages
- 100
- Dimensions
- 14,8 x 3,3 cm
- Poids
- 350 g
- Langue
- français
Du genre déviantes
Politiques de placement et prise en charge éducative sexuées de la jeunesse
Olivia Vernay
Publications de la Section des sciences de l'éducation - Université de Genève
Cahiers de la Section des sciences de l'éducation
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Vendu par Librairie L’Intranquille Plazza19.00
Cet ouvrage se penche sur la métamorphose des politiques de placement des
mineurs à Genève entre 1960 et 1980.
À travers l'étude d’un cas spécifique, l’institution de La Pommière, foyer
pour jeunes filles dites perturbées, c’est la dimension genrée des politiques
de protection de l’enfance et de la jeunesse qui est ici interrogée.
Une mise en perspective avec le centre de Chevrens, une institution pour
garçons, met en lumière une discrimination sexuée: les filles de La Pommière
ont été catégorisées comme «déviantes» de manière quasi irréversible –
contrairement aux garçons auxquels était accordé l’espoir d’une évolution
positive.
Sans avenir professionnel parce qu’aucun moyen de formation ne leur a été
proposé, elles ont été pour la plupart maintenues dans le circuit de
l’assistance sociale.
mineurs à Genève entre 1960 et 1980.
À travers l'étude d’un cas spécifique, l’institution de La Pommière, foyer
pour jeunes filles dites perturbées, c’est la dimension genrée des politiques
de protection de l’enfance et de la jeunesse qui est ici interrogée.
Une mise en perspective avec le centre de Chevrens, une institution pour
garçons, met en lumière une discrimination sexuée: les filles de La Pommière
ont été catégorisées comme «déviantes» de manière quasi irréversible –
contrairement aux garçons auxquels était accordé l’espoir d’une évolution
positive.
Sans avenir professionnel parce qu’aucun moyen de formation ne leur a été
proposé, elles ont été pour la plupart maintenues dans le circuit de
l’assistance sociale.
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