Vox

Imaginez une Amérique rétrograde et conservatrice...

Suite aux élections présidentielles, un groupe religieux monte au pouvoir et toute personne refusant d'obéir aux nouvelles règles est envoyée dans des camps de travaux forcés.
Une démocratie au relent de dictature où les femmes ne sont autorisées qu'à prononcer 100 mots par jour sous peine de recevoir une décharge électrique.
Comment les choses ont pu tourner ainsi sachant qu'elles auraient pu faire entendre leur voix avant de se la faire voler ?

Un roman sur la manipulation des consciences, le pouvoir de la pression collective et de la misogynie.
C'est à la fois poignant et révoltant.

Un roman coup de poing à l'écriture délicate et envoûtante sur la fragilité des libertés et surtout celles des femmes.
Méfiez-vous Mesdames, Soyez sur vos gardes !

Pauline

On dit que les femmes sont bavardes, alors, mesdames, vous imagineriez-vous limitées à un quota de 100 mots par jour ? Voilà le point de départ de ce roman mettant en scène une société anihilant les droits des femmes à travailler, à lire et donc à parler.
Une lecture addictive, efficace et effrayante, dommage que la fin soit "un peu facile". Mais les trois quarts du livre sont percutants alors ça vaut la peine quand même de le lire.