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Conseillé par Lib Ecritoire -. (Librairie L’Écritoire)24 février 2021
Faites la rencontre de Deborah Levy. Apprenez à aspirer le jus d’une orange en la faisant d’abord rouler sous la plante de votre pied. Écrivez sur des serviettes en papier. Pleurez dans les escalators. Une autobiographie pleine de tendresse, de lucidité et d’émancipation. Cela fait un bien fou. On attend le troisième tome avec impatience…
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Conseillé par L'équipe du Bateau Livre (Le Bateau Livre)4 janvier 2021
C'est génial !
Tout commence par une crise de larmes incontrôlable sur un escalator : l'occasion pour Deborah de plonger dans ses souvenirs et de faire le point sur sa vie avec une jouissive et acerbe finesse, à commencer par son enfance de jeune fille blanche et privilégiée dans une Afrique du Sud en plein apartheid.
Voilà une autobiographie percutante et passionnante dont on ne peut attendre la suite, qui est sortie en même temps, et c'est formidable !
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Conseillé par Nathalie -. (Librairie Page 36)2 janvier 2021
Pause dans le présent, avant retour sur l'enfance.
L'auteure éclate en sanglot, immobile sur l'escalator qui s'élève.
Cela déclenche la nécessité de faire le point sur sa vie où tout lui semble compliqué, sans que l'on sache quoi précisément.
Elle décide un voyage à Majorque, dans un lieu qu'elle connaît déjà, qui semble jalonner sa vie.
Là, au détour d'un dîner accompagné, sollicitée, elle raconte son enfance en Afrique du sud.
C'est alors que, devant cette soupe qu'elle ingurgite, par son récit, elle nous emmène tout là-bas, dans ce lieu qui est aussi celui des enfances, de l'Enfance.
De ce qu'elle a vécu, qui lui est absolument singulier, elle convoque aussi notre enfance, dans l'évocation des sensations, des interprétations, des tentatives à comprendre propres aux enfants qui savent se conter le monde dans une authenticité mêlée d'inventivité créatrice de sens et de beauté. -
Conseillé par Librairie L. (Les Saisons)31 décembre 2020
Voici le premier tome d'un cycle autobiographique de grande ampleur. Deborah Levy, femme de lettres anglaise, exprime la difficulté d'être soi dans une société qui restreint le corps et l'esprit des femmes.
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Conseillé par . L. (Librairie Charlemagne Toulon)18 décembre 2020
En résonance, on entend :
Virginia Woolf, Annie Ernaux, Marguerite Duras, Simone de Beauvoir, un récit plein de conviction à découvrir !Guillaume, Charlemagne Toulon
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Conseillé par Martine C. (Librairie Entre les Lignes)26 novembre 2020
Sensible et lucide
Premier volet autobiographique. Suite à une profonde dépression, Déborah Lévy revient sur sa formation d'écrivaine. Sur l'Afrique du Sud où elle a passé son enfance. Sur son père, militant de l'ANC emprisonné. Son arrivée en Angleterre avec sa famille et enfin ses premiers écrits. Ca ne se résume pas qu'à ça, Déborah Lévy tout en finesse passe de faits anodins pour nous mener vers des réflexions beaucoup plus profondes sur la place de la femme.
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Conseillé par Comme Un Roman C. (Librairie Comme Un Roman)11 novembre 2020
PRIX FEMINA ETRANGER 2020
Grâce à une construction subtile, ce premier récit d'une trilogie autobiographique n'en prend pas la forme habituelle. L'auteur ressort les moments clés de son existence pour en faire le point de départ d'une réflexion sur le métier d'écrivaine.
Le récit commence à Majorque ou l'auteur est venue faire un point sur sa vie. Son enfance à Johannesburg inscrit en elle la volonté d'être libre tandis que son adolescence en exil en Angleterre est le moteur dans son choix de devenir écrivaine.
Tout en force et délicatesse, irriguée par la pensée de Duras, Woolf, Simone de Beauvoir, cette réponse féminine au : "Pourquoi j'écris" de Georges Orwell, interroge sur le "Système Sociétal" du XXIeme siècle.
Passionnant et féministe. -
Conseillé par Marianne K. (Les Lisières à Villeneuve d'Ascq)11 novembre 2020
La moitié des pages cornées !
J'ai une et une seule habitude de lecture : corner les pages lorsqu'une phrase, un paragraphe, m'interpelle particulièrement, pour le recopier ensuite dans un carnet (carnet que je feuillette ensuite régulièrement). C'est bien simple, quand j'ai lu "Ce que je ne veux pas savoir", j'ai corné à peu près la moitié des pages...! C'est dire !
Ce texte, premier volet d'un triptyque autobiographique de l'autrice britannique, est de ces ouvrages qui garderont une place particulière dans la mémoire du lecteur, de ces livres qu'on offre, qu'on transmet, tant ils ont eu une influence incroyable sur nos émotions...
Et la bonne nouvelle c'est que le deuxième volet est déjà disponible et s'intitule "Le Coût de la vie" ! -
Conseillé par Mémoire 7 Littérature -. (Mémoire 7)30 septembre 2020
Autobiographie cinglante et féministe. Nécessaire ! - Guillaume -
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Conseillé par Julien L. (Librairie Dialogues)28 septembre 2020
Un récit sans concession sur le pouvoir de l'écriture ainsi que sur les fantômes du passé.
Clairvoyant... -
Conseillé par Librairie coiffard (Librairie Coiffard)15 septembre 2020
Conseillé par Marie-Laure
Ce que je ne veux pas savoir est le premier tome d’une vaste entreprise autobiographique que Deborah Levy nomme Living Autobiography. Dans cette première partie, nous allons suivre l’autrice dans un hôtel à Majorque. Travail d’introspection d’abord, réflexions sur son statut d’écrivain mais aussi de femme ; elle convoque ses modèles comme Georges Sand qui a d’ailleurs séjourné dans la même ville avec Frédéric Chopin. Elle s’interroge notamment sur la maternité, citant Marguerite Duras, Adrienne Rich ou Julia Kristeva. On pense aussi beaucoup à "Une chambre à soi" de Virginia Woolf. Puis, on va quitter cette chambre pour l’Afrique du sud où Deborah Levy a passé ses premières années. Son père, militant de l’ANC, a longtemps été emprisonné. Ils ont ensuite fuit en Angleterre. Un premier tome captivant dans lequel l’autrice nous parle de l’importance de parler fort, surtout lorsqu’on possède une petite voix, surtout lorsqu’on est une femme.
Article rédigé par Marie-Laure Turoche pour le magazine Page des librairesCe que je ne veux pas savoir est le premier tome d’une vaste entreprise autobiographique que Deborah Levy nomme Living Autobiography. Dans cette première partie, nous allons suivre l’autrice dans un hôtel à Majorque. Travail d’introspection d’abord, réflexions sur son statut d’écrivain mais aussi de femme ; elle convoque ses modèles comme Georges Sand qui a d’ailleurs séjourné dans la même ville avec Frédéric Chopin. Elle s’interroge notamment sur la maternité, citant Marguerite Duras, Adrienne Rich ou Julia Kristeva. On pense aussi beaucoup à "Une chambre à soi" de Virginia Woolf. Puis, on va quitter cette chambre pour l’Afrique du sud où Deborah Levy a passé ses premières années. Son père, militant de l’ANC, a longtemps été emprisonné. Ils ont ensuite fuit en Angleterre. Un premier tome captivant dans lequel l’autrice nous parle de l’importance de parler fort, surtout lorsqu’on possède une petite voix, surtout lorsqu’on est une femme.
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Conseillé par La Librairie Des Halles .. (La librairie des Halles)8 septembre 2020
Deux manifestes pour la liberté et pour l'amour.
Deux immenses "petits" bijoux de confidence, sensible, beaux, poétiques, émouvants...
Deborah Levy couche sur le papier son expérience de femme en pleine reconstruction à la suite d’un divorce, elle témoigne de son combat – ou plutôt de celui de toutes les femmes en quête d’une vie à elles.
Deux très beaux textes, qui ne donnent pas de leçon. Il sont empreint de cynisme, d'ironie, de pudeur mais aussi d'humour et d'extravagance. Des journaux intimes piquants et palpitants ! Brillant !"Il faut les lire sans se presser, avec parcimonie même, retourner en arrière, poser le livre, attendre, attendre encore, revenir et relire comme si c’était le premier livre du monde."
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Conseillé par Carolina S.11 septembre 2020
Coup de cœur de la chouette
Premier volet d’un récit autobiographique éclatant qui raconte une enfance au milieu de l’apartheid. L'écriture est intense et libératrice. On reste avec l’envie de savourer encore la plume irrévérente de Deborah Levy... et c'est d'ailleurs possible puisque le volume 2 ("Le coût de la vie") est également publié aux éditions du Sous-Sol !
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Conseillé par Carolina S.4 septembre 2020
delicieux et irrévérent
Premier volet d’un récit autobiographique éclatant qui raconte une enfance au milieu de l’apartheid. Écriture intense et libératrice. On reste avec l’envie de savourer encore la plume irrévérente de Deborah Levy