J'ai 14 ans et ce n'est pas une bonne nouvelle

Efi a 14 ans.
En rentrant à la maison pour les vacances scolaires, elle a des rêves plein la tête et est persuadée que le monde lui appartient. Mais pour ses proches, Efi n'est plus une enfant. Elle est entrée dans l'âge qui fait d'elle une femme et une épouse potentielle. Ses rêves s'écroulent d'un coup. Son destin est-il celui de passer de fille à épouse et de vivre sous l'autorité et dans la servitude ?

Un roman éclairant sur la condition des femmes dans le monde et dont on ressort avec la conviction que rien n'est acquis.

Roman très court mais puissant et poignant qui dénonce le mariage forcé.
Jo Witek nous offre un "témoignage" bouleversant sur un calvaire qui touche douze millions de jeunes filles dans le monde.

Efi est une jeune fille de 14 ans. Elle a la chance de pouvoir poursuivre ses études de collégienne à la ville, où elle est pensionnaire. Très bonne élève, sérieuse, d’un comportement moral exemplaire, elle rêve est de pouvoir étudier, devenir ingénieure et changer la vie des gens de son village qui vivent sans électricité ni accès internet.
C’est les vacances et le moment où elle va enfin retrouver sa famille, ses frères et sœurs, ses amies, son village.
Mais rapidement, elle sent que les choses ont changé. Son père, son frère, son oncle n’ont plus la même attitude avec elle. Ils sont distants, sérieux et froids. Au bout que quelques jours, ce qu’elle craignait arriva : ses parents lui font rencontrer les parents d’un homme de près de 30 ans. Parce qu’elle est devenue nubile, elle épousera cet homme-là. Mais Efi ne veut pas admettre cette fatalité et fera tout ce qui est en son pouvoir pour échapper à son destin de jeune nubile. Elle aura la surprise de pouvoir compter sur son frère qui l’aidera à s’échapper.
Efi est comme 12 millions de jeunes filles dans le monde, victime de l’inégalité des genres, de la domination masculine et de la marchandisation de son corps.

Efi est une jeune fille de 14 ans. Elle a la chance de pouvoir poursuivre ses études de collégienne à la ville, où elle est pensionnaire. Très bonne élève, sérieuse, d’un comportement moral exemplaire, elle rêve de pouvoir étudier, devenir ingénieure et changer la vie des gens de son village qui vivent sans électricité ni accès internet.

Dans le livre "J'ai 14 ans et ce n'est pas une bonne nouvelle", on suit Efi , une adolescente de quatorze ans qui refuse de se soumettre aux coutumes de son pays. Elle va alors repousser ses limites quitte à mettre sa vie en danger. Un très bon roman qui permettra peut-être de faire changer les choses.

Un roman jeunesse sur le mariage forcé des jeunes filles...Indispensable!

Un roman engagé, qui prend aux tripes et donne la rage !! Un livre essentiel qui donne envie de changer les choses... Dès 15 ans.

Efi est une jeune fille qui est heureuse d'étudier et qui rêve de devenir ingénieure afin d'aider son village à se développer. Mais dans son village les jeunes filles ne sont pas considérées et ne sont bonnes qu'à être mariées.

Un roman puissant sur un thème qui est, malheureusement, toujours d'actualité. Une lecture qui bouleverse mais qui reste pleine d'espoir malgré tout.
Un livre à lire et à faire lire.

Ici, point de « il était une fois ». Le récit expose le quotidien d'une jeune fille qui, comme des milliers d’autres partout dans le monde, va soudainement, à quatorze ans, vivre l'enfer : devoir quitter l'univers du collège et des jeux pour un mariage prochain.

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Efi rêve de devenir ingénieur. Elle a eu une chance rare de pouvoir aller au collège. C’est d’ailleurs la seule fille de son village à poursuivre ses études. La plupart arrête à l’âge de 10 ans pour aider leur mère à s’occuper des enfants en bas âge.

De retour chez elle pour les vacances, Efi n’est plus une petite fille. Elle a 14 ans, ses seins ont poussés, elle a eu ses premières règles quelques mois plus tôt, c’est une femme à présent. Aux yeux de ses parents, elle est devenue « nubile », une fille bonne à marier.
Efi savait qu’un jour cela allait arriver. Le mariage arrangé est chose courante dans leurs traditions.
Elle voulait d’abord finir ses études, avoir le temps de grandir et puis surtout donner son avis sur le choix de l’époux.

Mais rien de tout ça ne lui est demandé. C’est une femme et les femmes n’ont pas leurs mots à dire dans cette société d’hommes où les femmes ne sont utiles qu’à enfanter et aux affaires ménagères.
Rejoindre la ville et demander de l’aide, c’est le dernier espoir d’Efi.

Un texte important qui prône l’importance de l’éducation et du libre arbitre.
Efi incarne la flamme de la jeunesse et de la liberté. Elle est le reflet des adolescentes d’aujourd’hui qui vivent dans des sociétés où des traditions archaïques sont honorées et qui rêvent de prendre en main leur propre destin.

Efi, quatorze ans, un sac rempli de bonnes notes et quelques livres prêtés par sa professeure de littérature. Un village en Afrique ? En Inde? Le texte ne nous le dit pas. Ce pourrait être les quatorze ans d'une fille tsigane ou ceux d'une méditerranéenne sous le joug du patriarcat. L'histoire d'Efi est intemporelle et universelle. " Tu es en danger maintenant dehors " a prévenu le père d'Efi. Dans son village, on cultive la peur et la soumission. On n'éduque pas les garçons au respect mais plutôt à devenir les vigiles sous l'autorité paternelle. Efi n'est plus une femme en devenir mais un corps, une marchandise. On pourrait croire que l'histoire d'Efi date d'un autre temps, celui où la virginité des jeunes filles est préservée pour un seul et unique homme. Non pas celui que l'on se choisit mais celui qu'une famille impose. Les filles ne doivent pas penser à leur bonheur personnel, mais d'abord à celui de leur famille. Il faut rendre fier le paternel et ne pas s'opposer à la communauté.
Efi s'est fait une belle promesse : " Je suis une fille éclairée et jamais je ne pourrai vivre dans l'obscurité. "
Ce livre de littérature de jeunesse, je vais beaucoup en parler avec les enfants que j'accompagne, filles comme garçons car c'est le cri silencieux de douze millions de jeunes filles, mariées de force chaque année.
Ce livre est précieux pour nous les enseignants du réseau AEFE.