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Amours

Léonor de Récondo

Sabine Wespieser Éditeur

  • Conseillé par (Librairie Page et Plume)
    24 juin 2022

    Magnifique !

    Un roman fin, gracieux, poétique. Leonor De Recondo soulève le voile des apparences pour découvrir la chair et les sentiments. Bouleversant !

    Aurélie


  • Conseillé par (Fontaine Passy)
    13 mai 2015

    Dans une maison de maître en Touraine, vivent deux femmes que tout oppose. Victoire, belle jeune bourgeoise, mince, se morfond dans une vie sans amour, éprouvant qu'aversion pour son mari et le sexe. Céleste, jeune femme de chambre, naïve, charnelle , victime soumise au droit de cuissage de son patron. Mais c'est elle pourtant qui offrira à Victoire un cadeaux précieux : un enfant, l'enfant qui lui manquait tant. Cet enfant offrira bien plus que de l'amour aux deux femmes, il leur permettra de briser bien des tabous. Roman d'amour d'une autre époque, délicat, rafraichissant, il nous offre un moment doux et apaisant.


  • Conseillé par (47° Nord)
    9 mai 2015

    Vous allez déguster!

    En 1908, dans une maison cossue du Cher, Victoire s'ennuie. Après cinq ans de mariage elle ne répond pas aux désirs charnels de son mari ni à son désir de paternité. Anselme se tourne donc vers la bonne, Céleste à qui il rend visite certaines nuits. Mais de cette union naît un enfant que le couple Boisvaillant va adopter, perpétuant ainsi la tradition familiale. Un enfant qui va rapprocher Victoire de Céleste et leur faire découvrir l'amour, transgressant les conventions sociales. Léonor de Récondo décrit avec dextérité les sentiments humains, la découverte du corps, des sentiments, l'humiliation, le viol, la maternité. Magnifique !


  • Conseillé par (Librairie Arcanes)
    11 avril 2015

    improbable

    il y a bien sûr les personnages, les lieux, et le contexte historique, mais il y a surtout cette surprenante sociologie du "troussage de soubrette"...


  • Conseillé par (Librairie Papeterie Aux Lettres de Mon Moulin)
    7 mars 2015

    Petite merveille

    « Amours » le dernier titre de Léonor de Recondo aux éditions Sabine Wespieser est pour moi un véritable coup de cœur autant pour le livre que pour l’auteur dont j’avais beaucoup aimé le précédent roman « Pietra viva » qui vient de paraître en format poche aux éditions Seuil. « Pietre viva » raconte quelques mois de la vie de Michel-Ange, Léonor de Recondo y interroge le mystère de la création et les obsessions de l’artiste.
    Dans « Amours » Léonor de Recondo relate une histoire de femmes dans les années 1900, dans une maison bourgeoise du Cher. Le propriétaire des lieux, Anselme de Boisvaillant est notaire, il est marié à Victoire depuis cinq ans mais son épouse n’arrive pas à lui donner l’héritier tant attendu. Leur mariage était certes arrangé mais Victoire est jeune et belle. Pourtant celle-ci tellement corsetée dans ses dentelles, se sent comme cadenassée dans sa vie, et la musique qu’elle joue sur son piano ne suffit pas pour lui donner ce bonheur qui lui échappe désespérément.
    Régulièrement, Anselme monte dans les combles de leur habitation, pour y retrouver Céleste, la jeune domestique qui n’a d’autre choix que de subir les ardeurs de son maître. Il faudra plusieurs semaines à cette jeune femme de 17 ans pour comprendre qu’elle est enceinte. Bien qu’elle tente de cacher sa grossesse pour ne pas être renvoyée, la maitresse de maison Victoire comprend les méfaits de son mari et décide de prendre sa destinée en main. Cet enfant sera le sien et Céleste qu’il l’a porté, restera à ses côtés. Les convenances bourgeoises laisseront alors place à la force des sentiments et aux amours cachés.
    Léonor de Recondo nous décrit ces destins de femmes tout en finesse. C’est en violoniste virtuose qu’elle y rythme ses phrases dans une musicalité parfaite, une justesse des mots, une subtilité et une sensualité poétique.
    « Amours » est un roman sur les secrets de famille, sur la maternité mais aussi sur la liberté des corps et l’éducation des jeunes filles au début du XXe siècle, celles qui lisaient en cachette Madame Bovary en s’identifiant à Emma.


  • Conseillé par (Librairie Hisler)
    17 février 2015

    Début du XXe siècle, dans une maison bourgeoise du Cher, Victoire mariée par convenance à Anselme, rêve d'avoir un enfant mais celui-ci la laisse indifférente au plaisir.
    Malgré elle Céleste, la bonne va bouleverser cette vie austère. Une histoire d'amour inattendue qui éveille des sentiments les plus inavouables. Deux très beaux portraits de femmes. Un roman d'une grande sensibilité.


  • Conseillé par (Librairie L'Armitière)
    12 février 2015

    Derrière les murs

    Difficile de parler de ce roman sans trop en dire. L'histoire se passe en 1908, derrière les murs épais d'une maison bourgeoise du Cher...

    La scène inaugurale du viol peut faire peur mais il faut continuer de lire car, après, le corps qui a été bafoué ne le sera plus.

    Un roman d'une grande sensualité, peut-être pas "tout-public" ( il y a des tabous qui tombent !) mais c'est vraiment bien.


  • Conseillé par (Librairie Le Neuf)
    11 février 2015

    Coup de coeur de Céline

    Victoire et Anselme sont mariés depuis cinq ans, Céleste est leur domestique. Scène ordinaire de la bourgeoisie provinciale du début du XX° siècle. Pourtant lorsque Céleste donne naissance à un petit garçon, tout bascule. Il sera l’enfant tant espéré du couple. Mais sans l’amour de sa mère, le bébé dépérit. Prête à tout pour le sauver, Céleste ignore alors qu’elle découvrira le grand amour…
    Témoin d’un nouveau secret familial, la maison renferme entre ses murs, tout le poids de la condition étriquée des femmes et des classes sociales.
    Un roman charnel, dévastateur, inoubliable !


  • Conseillé par (Librairie Le Neuf)
    11 février 2015

    coup de coeur Céline

    Victoire et Anselme sont mariés depuis cinq ans, Céleste est leur domestique. Scène ordinaire de la bourgeoisie provinciale du début du XX° siècle. Pourtant lorsque Céleste donne naissance à un petit garçon, tout bascule. Il sera l’enfant tant espéré du couple. Mais sans l’amour de sa mère, le bébé dépérit. Prête à tout pour le sauver, Céleste ignore alors qu’elle découvrira le grand amour…
    Témoin d’un nouveau secret familial, la maison renferme entre ses murs, tout le poids de la condition étriquée des femmes et des classes sociales.
    Un roman charnel, dévastateur, inoubliable !


  • Conseillé par (Librairie Le Neuf)
    11 février 2015

    coup de coeur de Céline

    Victoire et Anselme sont mariés depuis cinq ans, Céleste est leur domestique. Scène ordinaire de la bourgeoisie provinciale du début du XX° siècle. Pourtant lorsque Céleste donne naissance à un petit garçon, tout bascule. Il sera l’enfant tant espéré du couple. Mais sans l’amour de sa mère, le bébé dépérit. Prête à tout pour le sauver, Céleste ignore alors qu’elle découvrira le grand amour…
    Témoin d’un nouveau secret familial, la maison renferme entre ses murs, tout le poids de la condition étriquée des femmes et des classes sociales.
    Un roman charnel, dévastateur, inoubliable !


  • Conseillé par (La Taverne du Livre)
    2 février 2015

    Début du XXème siècle dans une maison bourgeoise du Cher. Ennui, sentiments contenus, jusqu'à un bouleversement de l'ordre établi qui mène inéluctablement à la libération des cœurs, des corps.
    Très belle exploration des émotions intimes, "Amours" est saisissant de bout en bout...


  • Conseillé par (Librairie La Rose des Vents)
    30 janvier 2015

    Coup de coeur de Laurence

    A l'aube du XXe siècle, on découvre la vie d'une famille bourgeoise dont la morale est quelque peu douteuse.

    "Amours" est un roman de femmes pour les femmes, sur les thèmes de l'amour, de la maternité.

    Grave et bouleversant.

    Laurence


  • Conseillé par (Librairie l'Esperluète)
    24 janvier 2015

    conseillé par Céline L.

    1908, dans un village du Cher, Victoire, 24 ans est l'épouse d'Anselme, un notaire notable. Tous les deux issus de bonne famille, avec une éducation stricte, catholique. Mais un malaise s'installe entre eux, leur héritier se fait attendre... Jusqu'au jour où Céleste, 17 ans, la bonne de la famille découvre qu'elle est enceinte. Le couple décide d'élever l'enfant. Toute cette histoire ressemble à bon roman bourgeois d'une autre époque, mais en apparence seulement. Les corps vont prendre une place importante dans ce magnifique roman, avec le portrait de ces femmes troublantes, où le désir et la peur sont mis à nu avec évidence et fraîcheur.
    Avec son style spontané et concis, Léonor de Récondo passe en détail les existences les plus bouleversées, en révélant cet amour "contre nature" étouffé par la morale.

    Conseillé par Céline L.


  • Conseillé par (Librairie Ravy)
    24 janvier 2015

    Une histoire d'adultère qui se finit bien, un enfant qui se retrouve avec deux mères, un secret bien gardé. Dans la société bien corsetée ( au propre et au figuré) de l'époque (1908), il y a de la révolution dans l'air !
    Le corps des femmes est magnifié, et la musique, le piano a toute sa place. Une fiction "bovaryste" sensuelle et intelligente. Superbe !
    Christine


  • Conseillé par (Librairie La Buissonnière)
    19 janvier 2015

    Saisissant de sensibilité

    L'amour ne s'oblige pas. Il apparaît imperceptible et devient évidence et fulgurance, inattendu, loins des soumissions et des conventions. Corps et âmes ne sont plus qu'un jusqu'à la démesure et la tragédie. C'est beau et finement sensuel, audacieux et saisissant de sensibilité comme une tragédie grecque.


  • Conseillé par (Fontaine Victor Hugo)
    13 janvier 2015

    1908. Voici l'histoire d'un trio entre Anselme, riche notaire qui trompe sa femme avec leur jeune bonne Céleste. L'inévitable advient alors. Cette dernière tombe enceinte. Victoire, la femme d'Anselme acceptera cette grossesse à condition de devenir la mère de l'enfant dès sa naissance.
    Ce qui pourrait être une histoire presque banale prend une tournure inattendue. Incapable de s'occuper seule de l'enfant, Victoire va se rapprocher de Céleste.

    Léonor de Recondo signe un roman fort plein de subtilité, où les barrières sociales sont balayées et l'amour plus fort que tout.
    Grâce à une écriture simple et fluide, cet ouvrage se dévore. Curieux de savoir quels seront les destins de Victoire et Céleste, on ne peut interrompre sa lecture. Avec un note de fraîcheur et de gravité, ce livre vous transportera dans la campagne française du début du XXème siècle.
    Léonor de Recondo est une petite perle à découvrir dans cette rentrée littéraire de janvier.


  • Conseillé par (Librairie La Fabrique - Bar le Duc)
    31 décembre 2014

    Coup de coeur de Rémi

    Lorsque Céleste, la bonne, est mise enceinte par Anselme, le notaire, c'est naturellement tout l'équilibre de la maison qui vacille, mais c'est surtout les conventions, les conditionnements sociaux, les non-dits et les interdits qui volent en éclat

    C'est dans les salons feutrés de la bourgeoisie provinciale du début de siècle que Leonor de Recondo a choisi de mettre en scène une histoire d'amour inattendue et d'une puissance inouïe...

    Magnifique !


  • Conseillé par (L'Autre Monde)
    17 avril 2016

    Amours

    Dans une maison bourgeoise de province tout début XX° siècle cohabitent bourgeois et domestiques. On pourrait penser que certains profitent pendant que d'autres triment ; mais ce que nous montre Léonor de Recondo c'est que chacun se contente de jouer son rôle, à son corps défendant le plus souvent. Et que personne n'est épargné par le poids de la société corsetée de l'époque.
    Victoire va réussir à soulever un tout petit peu le couvercle qui les étouffe tous et chacun trouve un petit bout de bonheur. Mais parviendra-t-elle à lever complètement ce couvercle quand la société appuie de tout son poids pour le maintenir en place ?
    Un très beau roman historique et social mais aussi un beau roman d'amour.


  • Conseillé par (Librairie Mots et Images)
    18 mars 2016

    Une plongée au coeur de l'amour le plus pur, le plus inattendu et le plus inavouable. Un roman intense, rempli de sensualité. Magnifique !


  • Conseillé par
    19 septembre 2015

    Nous sommes en 1908, dans le Cher. Victoire est mariée à Anselme de Boisvaillant et ils attendent en vain un héritier. Par contre, Céleste, la bonne, attend un enfant d'Anselme qui lui rend souvent visite la nuit, visite dont elle se passerait bien.

    Ces quelques lignes ne résument pas l'intrigue qui est faite de multiples rebondissements. Malheureusement, trop en dire vous gâcherait la surprise du récit (ceci-dit, on apprécie d'arriver au chocolat fondant dans le Michoko, même si on sait par avance qu'il y en aura mais je préfère vous laisser découvrir par vous-même la teneur de ce chocolat fondant). Mais ne rien vous dire m'empêche aussi de vous expliquer clairement pourquoi ce roman m'a touchée et pourquoi j'en fait un coup de coeur. Sachez donc juste que les liens entre les personnages sont très forts, que les rebondissements sont à la fois inattendus et plausibles, qu'aucun personnage n'est noir ou blanc et que chacun à sa façon est touchant parce qu'il contient ses failles et que ces failles s'expliquent. C'est un roman à la fois sensible, sensuel et pudique et une plume précise et délicate.


  • Conseillé par
    1 septembre 2015

    Tout le mystère et la beauté de la femme s'exprime sous la plume de Léonor de Récondo.


  • Conseillé par (Librairie-Papeterie Peiro-Caillaud)
    14 avril 2015

    Dans l'intimité d'un amour interdit entre deux femmes, une bourgeoise et sa bonne, au début du XXème siècle.
    Un très beau texte !


  • Conseillé par (Librairie Mots et Images)
    11 avril 2015

    Une plongée au coeur de l'amour le plus pur, le plus inattendu et le plus inavouable. Un roman intense et sensuel. Magnifique!

    Céline.


  • Conseillé par
    10 février 2015

    19e siècle, amour

    J'oserai dire que ce roman nous replonge au coeur d'une famille bourgeoise du 19e siècle. La narration se déroule pourtant en 1908 dans un couple dont Monsieur est notaire et Madame s'ennuie.
    Le roman s'ouvre sur le viol de Céleste, appelons cela par son nom : Monsieur abuse de la jeune fille sur son lit de fer sous les combles. Bien sûr, la bonne tombe enceinte. Que faire, si ce n'est la renvoyer ?
    Pourtant, Victoire a une autre idée qui fera passer cet enfant pour le sien.
    Et là, la quatrième de couverture en dit trop. Baste, je continue ma lecture.
    Les deux femmes vont découvrir l'amour saphique, mais aussi le vrai sentiment amoureux, de celui qui met tout le corps en émoi.
    Eros n'allant pas sans Thanatos, Céleste décide de mourir. Et là, s'en fut trop pour moi : elle ne mourra pas de componction, mais de phtisie, j'avais une chance sur deux. Par cette fin trop classique, l'auteure vient quelque peu gâcher tout mon plaisir de lecture.
    L'image que je retiendrai :
    Celle des deux jeunes femmes découvrant leur corps et le plaisir qu'il peut recevoir et donner.

    http://motamots.canalblog.com/archives/2015/02/03/31435680.html


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    21 janvier 2015

    Un vrai bijou !

    D’une grande sensibilité et sensualité "Amours" est un roman superbe sur l’éveil du corps. La délicate et élégante musique de Léonor de Recondo nous ravit à nouveau avec ce texte magnifique et concis qu’il est impossible de lâcher. Un vrai bijou !


  • Conseillé par
    18 janvier 2015

    Une belle récréation

    Léonor de Recondo, portée par une écriture d'une justesse rare, nous entraîne dans une histoire d'une autre époque qui, le temps de quelques heures, nous offre une belle récréation. Anselme de Boisvaillant, notaire installé dans le Cher, est marié à Victoire depuis cinq ans. Cette dernière ne lui a toujours pas donné de descendance. Et n'apprécie guère le devoir conjugal pour lequel elle montre peu d'empressement. Anselme, en bon bourgeois sûr de ses propriétés, honore donc de ses faveurs la toute jeune Céleste, bonne de la maisonnée. Sans qu'elle y consente. Mais, en 1908, la domesticité n'a guère la parole et le droit de cuissage a cours sans que quiconque y trouve à redire.

    Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u


  • Conseillé par
    18 janvier 2015

    Début du XXème siècle dans un bourg du Cher. Victoire est mariée depuis cinq ans à Anselme de Boisvaillant, notaire de son état. Une union arrangée par les deux familles où les jours passent et se ressemblent pour Victoire, ni heureuse, ni malheureuse dans ce confort matériel. Ansleme attend d'elle qu'elle lui donne un fils. Souvent, il pousse la porte de la jeune bonne de la maison Céleste pour satisfaire ses envies. Mais Céleste tombe enceinte et craint de perdre sa place. Il est décidé qu'elle donnera naissance à son enfant qui sera adopté par ses patrons.

    Céleste met au monde Adrien et Victoire espère que désormais son époux la laissera tranquille. Victoire affiche son bonheur d'être mère mais se lasse de l'enfant. Le petit Adrien dépérit et la nuit Céleste l'emporte avec elle dans sa chambre. Victoire les surprend : mère de sang et fils allongés sur le petit lit, peau contre peau. Chaque nuit, Victoire retrouve Céleste et leur amour chaste évolue vers la sensualité, le charnel. Toutes deux découvrent leur corps et prennent du plaisir. L'épouse trompe son mari et la bonne très pieuse délaisse la Vierge. Victoire rayonne et veut plus de liberté. Aller à Paris accompagnée de Céleste sous prétexte d'acheter des robes sans corset. Paris où Céleste s'affranchit de sa condition de bonne aux yeux de la société, et se sent une personne le temps d'une journée et d'une nuit. Mais ce voyage signera la fin des temps heureux. Si Victoire a gagné en assurance et en bonheur, Céleste par sa bonté se sacrifiera pour celle qu'elle aime et pour son fils.

    Avec une écriture très classique et toujours ciselée, Léonor de Récondo nous décrit cette bourgeoisie, l'hypocrisie, le carcan des conventions, la morale et les barrières sociales. Alors que je m'attendais à une émotion plus forte, plus criante pour décrire l'amour entre Victoire et Céleste, une pudeur sensible magnifie ce sentiment.
    Si j'ai trouvé que ce livre manquait un peu de relief, les dernières pages sont douloureusement belles !