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Le voyage d'Octavio

Miguel Bonnefoy

Rivages

  • Conseillé par (Librairie Dialogues)
    12 mars 2015

    C'est l'histoire d'un apprentissage en forme de conte ou de citron. Vous avez tantôt l'impression de croiser Sépulveda au détour d'une forêt tantôt il vous semblera reconnaître Baricco pour les champs lexicaux si doux, si tendres et appropriés ; nul doute vous entendrez une musique envoûtante et précise. Il y a peut-être le côté initiatique de Siddartha mais sans l'intention. Sans une once de prétention l'auteur à une vitesse d'exécution étonnante, fait s'enchaîner les situations et notre imagination sourit. Le voyage d'Octavio est ce genre de livre beaucoup plus grand à l'intérieur que ne le suggère son format.


  • Conseillé par (Le Passage Culturel)
    27 février 2015

    Un premier roman onirique et picaresque

    Don Octavio est un ouvrier vénézuélien essayant de masquer à tout prix son illetrisme. Sa vie se déroule sans joie jusqu'à sa rencontre avec la comédienne Vénézuéla, qui va du même coup lui apprendre à lire et à aimer. Un évènement imprévu va cependant le pousser à prendre la route pour partir à la découverte de son pays et de lui-même.
    Dans la lignée d'un Gabriel Garcia Marquez, le romancier Miguel Bonnefoy invoque les mythes et légendes pour mieux nous raconter l'histoire d'un homme et de son pays.
    Une des bonnes surprises de cette rentrée littéraire, par un jeune auteur vénézuélien ayant choisi la langue française pour magnifier son écriture.


  • Conseillé par
    14 septembre 2015

    Un joli prix

    Prix littéraire de la vocation : excellent choix, j'avais beaucoup apprécié ce roman à sa sortie et regretté qu'il n'aille pas plus loin pour le Prix Orange. Je l'ai relu depuis et je confirme qu'il s'agit-là d'un très joli texte bourré d'humour, de sensibilité et d'intelligence.


  • Conseillé par
    28 janvier 2015

    Le Voyage d'Octavio

    De la naissance d’un pays, le Venezuela, à la naissance d’une pièce de théâtre qui en rappellera l’histoire, Octavio apprend à lire, aime, s’exile, aide, et se fossilise dans la légende. Homme d’un pays, il en porte la légende dans sa chair. Texte qui s’étend sans (presque) jamais dévoiler les prochaines pages ou l’issue, ni même l’intention, le lecteur n’a qu’à se laisser conter, au fil des mots, l’histoire d’Octavio.