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  • Conseillé par (Librairie Gérard)
    19 mars 2016

    Le dernier Orsenna, un retour aux sources

    Un roman familiale et historique où l'auteur nous dévoile son passé et l'histoire de cuba.


  • Conseillé par (Librairie Ravy)
    8 mars 2016

    Pour une fois, Erik Orsenna nous parle de lui et de sa famille. De lui et de son père porteurs tout deux d’un gène des amours impossibles. Ce gène viendrait-il de leur aïeul installé à Cuba au XIXème siècle et tombé sous le charme des cubaines et du rhum ?
    Avec beaucoup de verve et de gouaille Erik Orsenna nous embarque dans ses histoires et à Cuba, pour notre plus grand plaisir !
    Valérie


  • Conseillé par
    10 avril 2016

    Il était plusieurs fois

    Nous sommes en 1975, Gérard Manset chante « Il voyage en solitaire » et deux éclopés de la conjugalité vont tenter pendant tout un été de s’épauler : père et fils divorcent et la même semaine en plus ! Existe-t-il une malédiction familiale à rater ses amours ? Dans un récit pudique et tendre, l’auteur de « L’exposition coloniale » dresse le portrait d’une famille inhabituelle, entre Bretagne et Cuba. Une famille amoureuse des mots, des histoires, des mensonges et incapable de vivre un amour unique. L’ancêtre, tailleur, ne passait- il pas son temps au café à admirer les habitantes de Trinidad ? Le père, dont la ressemblance avec Clark Gable est frappante, fou d ‘aviron et de cyclisme, lui, cherche à deviner l’âme de toutes celles qu ‘ils dévisagent.

    Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u


  • Conseillé par
    9 avril 2016

    Exposition cubaine

    Erik Orsenna est un très bon écrivain, il aurait pu se contenter de ce statut, ou de celui d’immortel, de n’être qu’au auteur érudit voir un peu soporifique… Mais non, il est tout l’inverse, charmant, affable, drôle.
    Agaçant, me direz vous pour un homme qui réussit tout brillamment ? Et justement, pas tout à fait car s’il y a bien un domaine dans lequel il n’excelle pas, c’est celui du mariage. Tout cet ouvrage « hommage » à son père (aujourd’hui disparu) est la possible explication de ses échecs, car père et fils subissent une malédiction. La malédiction de leur ancêtre cubain.
    Voilà, à partir de là, le roman est un prétexte aux explications loufoques, aux stratagèmes, aux mensonges pour la bonne cause afin d’essayer de changer cette situation. C’est drôle, joyeux, souvent touchant et peut être qu’Erik Orsenna nous livre son récit le plus personnel. Je dis peut être, car qu’en est il vraiment entre la fiction et la réalité ?
    Si je pouvais en discuter avec l’intéressé, ce serait très certainement, un autre très bon moment !
    En attendant, il reste celui de cette lecture.


  • Conseillé par
    23 mars 2016

    ce qu'aimer veut dire

    Erik Orsenna écrit bien, très, très bien même, et en plus il a un cœur immense… Ce dernier roman porte un bien beau titre « l’origine de nos amours ». Cet écrivain aime la vie et l’exprime sans détours. Pourquoi ratons-nous nos amours, question cruciale, à laquelle l’auteur tente de répondre avec pour terres de cœur Cuba et la Bretagne. Ce roman est un livre très personnel, un dialogue entre E. Orsenna et son père, décédé il y a 3 ans, avec qui il a eu (enfin) une relation privilégiée et particulièrement autour du thème de l’amour. Un roman écrit très rapidement dont l’auteur avait besoin pour comprendre, se libérer. Et enfin oser assumer l’amour ?