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  • Conseillé par (Jeux lis là)
    29 février 2020

    Portraits de femmes

    Pénélope Bagieu nous propose ici une galerie de portraits de femmes qui ne font que ce qu'elles veulent en bande dessinée.
    Très intéressant!
    Dès 14 ans


  • Conseillé par (Le Passage Culturel)
    12 juin 2018

    Coup de coeur du Passage Culturel

    Ah ça, culottées elles le sont ! Voici une Bd qui dresse le portrait de femmes pas comme les autres, qui ont eu un rôle dans l’histoire, ou pas, mais qui, à chaque fois, en n’ont fait qu’à leur tête pour mener la vie qu’elles voulaient. Et ce, souvent aux dépends des hommes…
    Après l’excellent « California Dreamin », Pénélope Bagieu revient, plus douée que jamais et met son humour et son talent graphique au service de ces grandes dames. Il est indiqué « Tome 1 » sur cet album, on a donc hâte de rencontrer les prochaines sur le tome 2 !
    Gros coup de cœur ( et à mettre entre toutes les mains, poilues…ou pas )


  • Conseillé par (Librairie La Grande Ourse)
    17 février 2017

    Une bande-dessinée proposée par Anne-Marie

    Lors du dernier Tulalu ? Anne-Marie, associée de La Grande Ourse, nous a parlé de "Culottées" : la vie de "femmes qui ne font que ce qu'elles veulent". Une femme à barbe, une Apache guerrière, Joséphine Baker, une travailleuse sociale, une gardienne de phare, ... Toutes ont en commun de ne s'être pas résignées. Pour chacune de ses héroïnes, Pénélope Bagieu dessine une courte biographie. Ces quinze portraits forment un ensemble stimulant, drôle et instructif ! Le tome 2 vient de sortir.


  • Conseillé par
    22 août 2018

    féminisme

    Dans le second : Sonita, rappeuse afghane et exilée militante ; Thérèse, bienfaitrice des mamies parisiennes ; Nellie, journaliste d’investigation au XIXe siècle ; Cheryl, athlète marathonienne ; Phulan, reine des bandits et figure des opprimés en Inde…

    En tout, trente portraits de femmes qui ont inventé leur destin.

    "Les Culottées" ont fait voler en éclats les préjugés.

    Bravo Mesdames, et mercis.


  • Conseillé par
    21 novembre 2016

    Pénélope Bagieu est active sur un blog hébérgé par Le Monde et qui s'appelle Culottées. Elle y raconte la vie de "femmes qui ne font que ce qu'elles veulent". Une femme à barbe, une Apache guerrière, Joséphine Baker, une travailleuse sociale, une gardienne de phare, ... Toutes ont en commun de ne s'être pas résignées et d'avoir combattu les préjugés masculins sexistes. Cette bande dessinée est la version papier du blog pour des gens comme moi qui préfèrent lire avec la bonne vieille méthode.

    Bon, je dis des gens comme moi, mais en fait cet album ne m'appartient pas, c'est mademoiselle ma fille qui l'a rapporté en rentrant un ouiquende. J'aime beaucoup la couverture et aussi l'intérieur du livre. De toutes ces femmes, je n'en connaissais que très peu, Joséphine Baker et c'est à peu près tout. Puis, en lisant, je me suis souvenu de certaines d'entre elles : Annette Kellerman (sirène), Leymah Gbowe (travailleuse sociale) et Wu Zetian (impératrice). Pour les autres, eh bien j'ai appris leur existence en même temps que leur parcours.

    Pour chacune de ses héroïnes, Pénélope Bagieu dessine une courte biographie, souvent drôle, parce qu'il n'y a pas de raison d'informer dans la tristesse et le solennel. C'est ça qui est bien chez la bédéiste, c'est qu'à chaque fois, elle réussit à nous faire sourire avec des vies de femmes qui se sont élevées et ont combattu souvent contre les hommes, simplement pour exister et vivre ce qu'elles avaient envie de vivre. Si le propos n'est pas drôle, alors c'est le dessin qui fait sourire. Mais qu'on ne s'y trompe pas, Pénélope Bagieu ne se moque pas d'elles, au contraire, elle les met en avant et montre bien qu'une femme dès lors qu'on lui en laisse la possibilité réussit aussi bien qu'un homme dans tous les domaines. J'aime bien le ton général des BD de Pénélope Bagieu, j'avais aimé Joséphine, et aussi les films avec Marilou Berry dans lesquels le ton y était.

    Une bande dessinée excellente, féministe diront certains avec ce petit air ironique, moi je dirais simplement humaniste, puisque comme pour les grands hommes on dit qu'il y avait des femmes derrière eux, eh bien derrière ces grandes femmes, il y avait un homme derrière elles... ou d'autres femmes d'ailleurs dont l'auteure parle aussi.