Un illustrateur et un danseur entremêlent leurs arts pour créer cette expérience visuelle et graphique, où le pinceau d'un artiste suit les mouvements et la grâce d'un autre.
BD scénique, qui occupe l'espace et transmet sur papier ce qui n'a pu l'être sur scène pendant longtemps.
Graphique, sensuel et touchant !

A Middenshot, la folie guette des habitants aussi instables que la météo est capricieuse... Le vent souffle, siffle, annonce ses malheurs, puis laisse place au brouillard, opaque, enveloppant et angoissant.
C'est alors que l'on apprend qu'un tueur s'est échappé de l'asile, et se met à sévir dans la brume.

Roman terrible sur la démence et la violence humaines, voilà une lugubre pépite qu'on est pas près d'oublier, à la langue éblouissante et bien pendue. Bluffant !

La Cité. Elle a un nom mais personne, ou si peu, ne l’utilise. Gigantesque métropole, dont les quartiers sont le champ de bataille privilégié des Maisons - des grandes familles corrompues - dirigées par des Ducs et Duchesses.

Nox, jeune homme poète et joueur aux origines troubles, vit dans le Quartier du port. De par son héritage et sa connaissance aigüe de sa ville, il se retrouve pris dans les intrigues politico-économiques de sa Maison.
Pas facile, en plus de cela, d’assumer une sœur jumelle instable et un pouvoir lui permettant de pénétrer dans une version parallèle fantôme de la Cité.

Il suffit d'une grande maison quelque part en pays flamand, d'un étang et d'un vaste jardin pour planter le décor d'un beau roman, simple et attachant. L'on y suit une fillette d'une dizaine d'années à l'imagination débordante, qui assiste à la lente agonie de son patriarche de grand-père, découvre ses premiers émois et ses envies d'ailleurs.
Chronique de la fin d'une enfance au cœur d'une nature particulièrement omniprésente, cette œuvre émeut et enchante.
Un premier roman touchant et une autrice pleine de promesses.

Après Neverland, Timothée de Fombelle nous offre à nouveau un voyage en enfance....
Une balade délicieusement illustrée par le trait délicat d'Irène Bonacina.