www.leslibraires.fr

Conseils de lecture

18,00
Conseillé par (Librairies de Port Maria)
12 janvier 2020

Une équipée menée par un trio insolite et qui nous réserve bien des surprises.
Porté par une écriture à la fois mélancolique, pleine de finesse, énergique, un récit qui ne peut que nous combler.


Joëlle Losfeld

Neuf 19,00
Occasion 4,00
Conseillé par (Librairie Dialogues)
12 janvier 2020

Force tellurique et rage humaine se mêlent au Yorshire... À la marge, vivent un homme et ses deux enfants, un homme qui gagne sa liberté à la sueur de ses poings... Liberté désirée, enviée par certains. Une tension sourde se libère au fil des pages de ce conte noir très réussi.


20,90
Conseillé par (Librairie Dialogues)
12 janvier 2020

Lire un texte en apnée sans le lâcher de bout en bout est toujours une expérience déconcertante. Nourris par cette écriture puissante, nous revoilà plongés dans le présent... Malheureux d'y revenir tant ce texte nous emmène dans les abysses d'une fiction que beaucoup disent être notre réalité future... Un texte relié aux pulsations d'une terre vivante.


22,50
Conseillé par (Fontaine Passy)
12 janvier 2020

Kya se retrouve à vivre seule à dix ans, abandonnée par sa mère , ses frères et soeurs puis son père dans les marais de Barkley Cove , petite ville de Caroline du Nord. Cette jeune enfant va rencontrer de belles personnes comme
de nombreux opposants pleins de préjugés, racistes, médisants..Dans cette nature luxuriante hostile ou salvatrice un homme est assassin. L'enquête policière demeure un élément important dans le dénouement de cet ouvrage.
Magnifique roman sur la solitude, l'apprentissage et l'amour.


20,00
Conseillé par
12 janvier 2020

Un vrai western spaghetti !

C’était bien avant Amazon, shopping sur smartphone et révolution numérique.
Excusez du peu… en 1924, l’empire Félix Potin ne comptait pas moins de 10
usines, 5 chais, 600 concessionnaires, 70 succursales, 5000 clients épiciers,
650 chevaux et 80 automobiles. La commande était envoyée par pigeon voyageur,
ou par courrier, et la marchandise livrée à cheval ou triporteur. Tout était
déjà en place chez ce pionnier de l’épicerie, ce « Napoléon de la cassonade »
comme l’écrivait Adolphe Brisson en 1896 dans « Le Temps » _._

D’Arpajon à Paris, de la petite boutique rue Rodier au grand bâtiment du
boulevard Sébastopol, voici l’histoire et surtout le destin du jeune Félix,
formidable entrepreneur, shérif de l’industrie gourmande qui gère la chaîne de
production du cultivateur au consommateur. Pratiquant le bon goût, le patron
s’associe même à Nadar dont on peut alors collectionner les photos rangées
dans les tablettes de chocolat Potin.

Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u