Sauveur St Yves est un psychologue clinicien martiniquais. Son hobby ? S'occuper des problèmes des autres (pipi au lit, phobie scolaire, scarification ...), du coup il en oublie le sien : il a perdu sa femme et il doit élever seul son fils Lazare (8ans).
Roman plein d'humour, qui parle de tout sans tabou, sans jugement avec une sensibilité hors du commun.

Stephane Audeguy revient pour nous raconter les péripéties d'un lion qui vécut au Sénégal avant de croiser la route des hommes et d'être envoyé en France. Encore lionceau, son destin semble favorable. Tantôt respecté tantôt maltraité, le lion sert de prétexte pour amener la réflexion sur la cruauté humaine et plonger dans les méandres méconnus de l'histoire de la fin du XVIIIe siècle. Grande épopée historique, des prémices de la Révolution à son aboutissement, nous sommes bercés par la plume concise mais poétique de ce roman singulier. Un livre surprenant sur sa beauté, un auteur à (re)découvrir d'urgence. Mathilde

« Fraternels », n’est-ce-pas de cela dont nous avons besoin : un peu de fraternité ?

Nous sommes esclaves volontaires des nouvelles technologies, nous réagissons peu aux effets du changement climatique, l’exploitation du lithium nous indiffère, l’intolérance religieuse est à son comble. Et si nous nous mettions à rire de nos addictions ? A imaginer des sorties aux impasses ? N’est-ce-pas le pouvoir de la fiction ? Interroger le monde à travers un roman : voilà la proposition utopique de Vincent Borel. Offrir au lecteur des personnages insoumis. L’auteur le dit lui-même, son histoire c’est « Rabelais ou Diderot qui auraient rencontré Tarantino ».

Un beau voyage au coeur de la banquise dont les habitants sont victimes d'une farce haute en couleurs !

La suite des aventures de Monsieur Lapin, ce héros attachant que nous aimons retrouver.

Dès 6 ans

Charlène

Installez- vous confortablement, de préférence le matin à l’aube, ou tard le soir avec une brume épaisse. Vous êtes fin prêt pour affronter ce premier roman tout droit sorti du fonds des étangs. Un style à couper le souffle, un ton juste et un vocabulaire riche et approprié. L’histoire : vingt-quatre heures pour sonder les cœurs et les corps et découvrir à qui appartiennent ces ossements retrouvés au bord de l’écluse. Une atmosphère à la Simenon ou à la Chabrol. Des prénoms qui fleurent bon le mystère : Phlox, Aubin, Hilaire, Polycarpe, Irmine, Nazaire, Prisque… Le décor est planté et la lecture se poursuit inexorablement jusqu’au point final.
Edith Masson est née en 1967 à Verdun, a publié un recueil de poésie « Landschaft/Le décor » et je fais le pari que nous reparlerons de ses écrits, comme à l’époque, Philippe Claudel et son « Meuse l’oubli ».