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2010, année Mandela

L'Afrique du Sud fête cette année le 20e anniversaire de la libération de Nelson Mandela, symbole de l'Apartheid, devenu ensuite le premier président noir d'un pays marqué par la ségrégation raciale.

Et accueille pour la première fois sur le sol africain, la Coupe du Monde de football.

Neuf 10,05
Occasion 4,27

« Je défends l'idéal démocratique d'une société libre dans laquelle des gens vivent ensemble en harmonie et avec des droits égaux. »

Pour avoir combattu la ségrégation raciale en Afrique du Sud, Nelson Mandela a passé 27 ans de sa vie en prison. Libéré le 11 février 1990, son engagement en faveur de la réconciliation nationale lui vaut de recevoir le prix Nobel de la paix en 1993. L'année suivante, il devient le premier président noir de son pays. Bill Keller, qui l'a rencontré à plusieurs reprises, retrace ici la vie d'un homme au charisme exceptionnel, admiré dans le monde entier.


8,10

David Lurie, 52 ans, enseigne la poésie et la communication à l'université du Cap. Séducteur, il multiplie les conquêtes et se laisse aller à un élan de désir avec une étudiante qui finit par porter plainte et le contraint à démissionner. Il se réfugie alors chez sa fille Lucy dans une ferme isolée tandis que l'Afrique du Sud post-apartheid est en pleine déliquescence. Edition spéciale Nobel.


Neuf 9,20
Occasion 2,19

Prix Médicis étranger 1980, Une saison blanche et sèche est le quatrième roman d'André Brink. Interdit dès sa publication en Afrique du Sud, alors en plein apartheid, il fut traduit dans une dizaine de langues. Écrit dans le style somptueux, riche de couleurs et d'images, d'Au plus noir de la nuit, c'est l'oeuvre la plus significative, la plus engagée, la plus achevée, d'un très grand romancier.
Le type même du roman complet, construit, partant d'une intrigue passionnante mais anecdotique, pour aboutir aux problèmes fondamentaux : les libertés individuelles, le droit de disposer de soi, l'incommunicabilité entre les races, entre les classes sociales, l'illusion du combat solitaire. Un grand livre, d'une écriture généreuse et courageuse, qui se lit d'une traite en haletant.


Neuf 8,50
Occasion 3,70

Un portrait lumineux d'une figure mythique par Jack Lang.
" Mandela est devenu un mythe. C'est ce mythe dont j'entends raconter la genèse, la force et l'exemple. J'ai rencontré Mandela voilà plus de quinze ans après avoir contribué au boycott de l'ancienne Afrique du Sud et milité pour sa libération. L'homme était à la hauteur de son mythe : un guerrier, un sage et tout autant un homme de culture théâtrale. C'est ce qui nous a rapprochés spontanément et c'est la manière dont j'ai choisi d'aborder un personnage d'exception."" Mandela, né en 1918, c'est à la fois le rebelle, qui entend combattre l'injustice faite par des Blancs, d'abord par le droit et dans la non-violence, comme un Gandhi, puis dans l'illégalité et la clandestinité dès 1944. C'est aussi le captif sans haine qui découvre le théâtre en prison, se transforme en homme d'Etat prêt à donner sa mesure, sitôt libéré, dans une négociation impossible où l'écoute, la tolérance et la démocratie lui permettent d'éviter un bain de sang. C'est enfin celui qui renonce à la revanche pour incarner une "nation arc-en-ciel". J'ai voulu être le passeur de cette destinée auprès des lecteurs d'aujourd'hui."
Jack Lang
Figure de la vie politique contemporaine, Jack Lang, qui a rencontré Mandela à de multiples reprises, brosse ici un portrait lumineux.


Le regard de l'antilope

Robert Laffont

23,50

Lorsque James Gregory, jeune gardien de prison assigné à la surveillance d'un groupe d'activistes noirs au pénitencier de Robben Island, a vu Nelson Mandela pour la première fois, il le haïssait de toutes ses fibres. Et pourtant, c'est une amitié profonde, unique, qui est née entre eux.
Enfant, James avait grandi dans une ferme africaine, avec l'horizon pour limites, et un jeune Zoulou comme ami et compagnon de jeu. Mais à l'âge adulte, dressé par des années d'apprentissage à l'apartheid, il avait la haine au coeur pour ceux qui n'étaient pas de sa couleur.
Goodbye Bafana raconte comment sa rencontre avec Mandela - son prisonnier devenu son ami, l'homme qui lui a appris à voir le monde autrement qu'en noir et en blanc - a changé sa vie. Il dit comment ils en sont venus à partager les mêmes peines et les mêmes drames, les mêmes bonheurs volés - et le même idéal. Il dresse de Mandela un portrait émouvant, inoubliable. Il donne à cette amitié sa dimension d'aventure personnelle et humaine aussi bien que de symbole universel.