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3,19

Depuis plusieurs années, deux jeunes Péruviens, Ronaldo, 11 ans, et sa soeur Paulina, 7 ans sont obligés de travailler à la mine d'or de Salvano. Ils décrivent leur quotidien et leurs conditions de travail exécrables.
Le roman est augmenté d'un dossier sur le travail des enfants dans le monde.


Une fillette s’interroge sur le travail de son père qui n'est pas un bavard. Elle se pose des questions sur les 3/8, sur les tenues de travail, sur les mauvaises odeurs, sur les grandes cheminées qui crachent des flammes, sur les dangers. Et puis l'usine ferme. D’autres questions surviennent. C’est quoi la grève ? C’est quoi le chômage ? Illustrations évocatrices de David Rebeau.


12,00

L'album passe en revue de façon systématique les distractions de vingt animaux après leur travail. Les activités des animaux ont un rapport direct ou décalé avec une profession : l'éléphant est pompier, le renard fait de la politique politicienne. Ou avec le contexte social : le cheval travaille pour gagner plus et le chat est au chômage... Mais c'est ce qui se passe après le travail dont on parle. Textes simples et illustrations en couleurs


Neuf 10,15
Occasion 3,20

La question du travail ne se pose pas comme une question quelconque. Elle surgit d'abord comme la préoccupation des adultes : le travail est un passage obligé pour que l'on puisse s'assumer. Savons-nous pourtant ce qu'il implique réellement? Plutôt que de le penser par rapport au seul argent gagné, il faut le considérer comme un ensemble de gestes répétés, de représentations qui forment un monde commun. Le travail crée les moyens d'une vie décente. Mais il peut être perdu à tout moment et de son absence compromet le sens d'une existence en lui ôtant les moyens de son développement social et personnel. Dans le travail cohabitent misère et grandeur : il y va de ce que les autres peuvent faire de nous mais aussi de ce que nous parvenons à faire de nous-mêmes


Neuf 9,90
Occasion 1,83

À seize ans, en plus du lycée, des copains et du foot, Thomas passe tous ses samedis à travailler sur des chantiers.
Pourquoi ? Parce que son père est maçon et que c'est l'occasion de passer du temps avec lui. Pour se faire un peu d'argent de poche. Pour le plaisir du travail manuel bien fait. Mais surtout parce que ces samedis à faire et défaire chez les autres sont autant de portes grandes ouvertes sur le monde des adultes.

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