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"Il n'y a pas d'âge pour philosopher !"

Quoi ? Il faudrait avoir un âge honorable, des cheveux gris sel, un pull à col roulé et avoir vécu 3 vies pour parler de philosophie ??? Voilà belle lurette que les éditeurs jeunesse ont balayé l'idée reçue en proposant des ouvrages efficaces et adaptés à tous les âges, des petits aux ados.

8,90

Le Bien et le Mal, un « Goûter Philo » pour réfléchir sur ce que sont, philosophiquement, ces deux notions.


pour vivre ensemble

Albin Michel

7,90

Voici une version poche des Philo-fables pour vivre ensemble, parues en 2007.
Dans la veine du premier Philo-fables, cet ouvrage réunit 52 histoires courtes adaptées de récits et traditions du monde entier : contes africains ou chinois, mythes antiques ou fables de La Fontaine.
Chaque histoire est introduite par les notions-clés qu'elle aborde et est suivie d'un commentaire interrogatif, « dans l'atelier du philosophe ». Le jeune lecteur est amené à réfléchir sur la vie en société, l'entraide, le respect, le racisme, le langage, le devoir... et à questionner ses propres certitudes et comportements.

Une initiation au questionnement philosophique par le plaisir des fables.


10,00

Le bonheur est à la fois notre objectif individuel et notre projet de société : un paradoxe insoluble. Ce qui nous rend heureux est mystérieux et intime. Mais c'est l'une des marques de notre humanité, une humanité qui s'épanouit dans la relation aux autres : le bonheur n'est-il pas contagieux ?
Une excellente préparation au bac. À partir de 15 ans.


Rue de l'échiquier

« Fais pas ci, fais pas ça », on connaît la chanson, celle qu'on serine à l'enfant pour le préparer à vivre en société. Faudrait-il donc apprendre à obéir sous prétexte qu'on devra le faire toute sa vie? Comment peut-on être libre si l'on se soumet à la volonté de quelqu'un? Le meilleur moyen d'apprendre à être libre ne serait-il pas de DÉSOBÉIR? Même si le respect des règles ou des normes n'entraîne pas nécessairement un assujettissement qui nous ferait perdre notre liberté, certaines formes d'obéissance sont aliénantes, tels le conformisme ou l'obéissance aveugle. Et désobéir, ce n'est pas aussi facile qu'on le pense: il ne s'agit pas de désobéir à moitié, comme quand on s'exécute en râlant ou en traînant les pieds, mais de transgresser la loi, de rejeter en bloc l'autorité. Il existe aussi un mode de désobéissance qui consiste à ne pas faire ce qui est demandé. Voire à ne rien faire du tout. À côté de la résistance passive désarmante se dresse enfin la révolte en armes. La violence est-elle de mise contre un pouvoir injuste? Toute autorité s'avère-t-elle opprimante? Désobéir, serait-ce non seulement un devoir civique mais aussi un droit?


Sabrina CERQUEIRA

Rue de l'échiquier

10,00

Robin des Bois, Arsène Lupin, Jean Valjean, la bande à Bonnot, Jean Genet... Il y a les voleurs réels et les voleurs mythiques, les dandys du vol et les voleurs pauvres... Héros, esthètes, nécessiteux ou justiciers, tous semblent faire l'objet à la fois d'une peur et d'une fascination populaire. Le plus souvent, le vol suscite l'indignation - ce dont témoigne la sévérité des sanctions pénales qui lui sont réservées. Mais alors, comment expliquer l'intérêt que suscitent les voleurs, et à quoi font-ils écho en nous? En nous appuyant sur les grandes légendes du vol qui apparaissent au cinéma et dans la littérature policière, ce sont finalement toutes les ambiguïtés de notre rapport à la propriété que nous serons amenés à explorer. Communisme, libéralisme, anarchisme: si chaque courant de pensée politique se définit par un rapport différent à la propriété, c'est par le traitement que chacun réserve au vol que nous tenterons de comprendre pourquoi voler peut nous apparaître en même temps comme un héroïsme et comme une menace.