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Tulalu ?

ROMANS - Littérature

Ou la fin des hommes

Points

Laëtitia Perrais avait 18 ans et la vie devant elle. Dans la nuit du 18 au 19 janvier 2011, elle a été enlevée. Puis tuée. Par la vague d'émotion sans précédent qu'il a soulevée, ce fait divers est devenu une affaire d'État. À travers cette enquête de vie, Ivan Jablonka rend Laëtitia à elle-même. À sa liberté et à sa dignité.
Ivan Jablonka est historien et écrivain. Il a publié au Seuil, dans " La Librairie du XXIe siècle ", Histoire des grands-parents que je n'ai pas eus (2012) et L'histoire est une littérature contemporaine (2014).
" Un livre poignant, à la mesure de la destinée de cette jeune fille. "
Les Inrockuptibles
" Un récit historique et citoyen. Et un grand livre. "
L'Express
" Un thriller à couper le souffle. "
Grazia


Le Livre de poche

Neuf 7,90
Occasion 3,00

Avant, Gabriel faisait les quatre cents coups avec ses copains dans leur coin de paradis. Et puis l'harmonie familiale s'est disloquée en même temps que son «  petit pays  », le Burundi, ce bout d'Afrique centrale brutalement malmené par l'Histoire.
Plus tard, Gabriel fait revivre un monde à jamais perdu. Les battements de cœur et les souffles coupés, les pensées profondes et les rires déployés, le parfum de citronnelle, les termites les jours d'orage, les jacarandas en fleur... L'enfance, son infinie douceur, ses douleurs qui ne nous quittent jamais.
 
  Un livre lumineux.  Astrid de Larminat, Le Figaro.
 
Un très beau premier roman, déchirant et incandescent, qui force l’admiration.  Yann Perreau, Les Inrockuptibles.
 
  Gaby n’est pas un petit Africain, c’est un enfant du monde emporté par la fureur du destin. Notre hantise commune.  Maria Malagardis, Libération.
 
 
PRIX GONCOURT DES LYCÉENS / PRIX DU ROMAN FNAC / PRIX DU PREMIER ROMAN


6,00

Dans ces mémoires à la troisième personne, l'écrivain au crépuscule de sa vie livre ses souvenirs : enfance, mariage, création littéraire, amours et amitiés, célébration des plaisirs de la table, alcools et paradis artificiels... Jim Harrison revient sur des épisodes tantôt fondateurs tantôt anecdotiques de son existence, un exubérant pied de nez à la mort qui se profile.Véritable testament littéraire, ces humbles et ultimes confessions en marge de toutes les conventions sont à l'image de Big Jim : plus libre, plus touchant et plus provocateur que jamais.


8,90

Signé Ajar, ce roman reçut le prix Goncourt en 1975. Histoire d'amour d'un petit garçon arabe pour une très vieille femme juive : Momo se débat contre les six étages que Madame Rosa ne veut plus monter et contre la vie parce que «ça ne pardonne pas» et parce qu'il n'est «pas nécessaire d'avoir des raisons pour avoir peur». Le petit garçon l'aidera à se cacher dans son «trou juif», elle n'ira pas mourir à l'hôpital et pourra ainsi bénéficier du droit sacré «des peuples à disposer d'eux-mêmes» qui n'est pas respecté par l'Ordre des médecins. Il lui tiendra compagnie jusqu'à ce qu'elle meure et même au-delà de la mort.


10,00

« Ce que je veux aborder avec ce recueil ? En un mot, l’isolement, et ses conséquences émotionnelles. « Des hommes sans femmes » en est l’illustration concrète. C’est le titre qui m’a d’abord saisi (bien sûr, le recueil éponyme d’Hemingway n’y est pas étranger) et les histoires ont suivi. Chacune de ces histoires est venue en résonance du titre. Pourquoi Des hommes sans femmes ? Je n’en sais rien. D’une façon ou d’une autre, ce titre s’est enraciné dans mon esprit, comme une graine déposée dans un champ par le hasard du vent. »