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Jack London : un classique à la mode !

romans d'aventures

71,50

Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes. Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice. Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir.

Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines. Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.


73,50

Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes. Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice. Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir.
Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines.
Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.


7,70

Découvrir le temps des premiers hommes sous la plume et par l'imaginaire de Jack London est une aventure en soi. Chassé du nid par un mâle dominant et contraint à l'exil, un adolescent du Paléolithique rencontre l'amitié, le froid et la loi du clan. Dans ce monde sans pitié où ne survivent que les forts, il doit dormir au plus haut des arbres ou dans des failles rocheuses inaccessibles aux grands fauves et courir pour ne pas être massacré par Oeil-Rouge ou les hommes du Feu... Et permettre, sans le savoir, la marche de l'Histoire...

Publié en 1907, quatre ans avant La Guerre du feu, Avant Adam est un inoubliable roman dédié à nos ancêtres.


Correspondance Kempton-Wace

Libretto

8,70

Préface de Jeanne Campbelle Reesman. Avant-propos par Anna Strunsky Walling.   Paru anonymement en 1903, ce roman épistolaire a été écrit par Jack London avec son amie Anna Strunsky, qui partageait ses idéaux. Cher au cœur de son auteur, le livre traite, d'une manière très vivante, de la philosophie de l'amour.Deux êtres de papier se répondent ici : un vieux poète anglais défend la passion romanesque ; son protégé, un jeune universitaire américain, analyse froidement les phénomènes de l'attraction sexuelle, où il ne voit qu'une ruse de la nature destinée à perpétuer l'espèce. Dès lors, la question se pose : est-il vraiment amoureux de la jeune femme qu'il veut épouser ? Leur union est-elle viable ou vouée à l'échec ?L'Amour et rien d'autre est une invitation à la rencontre d'un London inattendu. Avec sagacité, le grand Jack et sa compagne abordaient sans tabous, il y a plus d'un siècle, les sujets qui préoccupent les hommes et les femmes d'aujourd'hui.


9,60

Un planteur anglais, miné par la maladie et menacé de mort par les indigènes, se désespère sur une île des mers du Sud quand surgit des flots une jeune Américaine poussée par la tempête. Vénus moderne, elle n’a pas froid aux yeux et prend la situation en main. Mais pour cette jeune femme indépendante, pas question de recevoir de leçons d’un homme et encore moins de se faire demander en mariage ! Naufrages, révoltes, explorations dans la jungle, quête de l’or, lutte contre des chasseurs de têtes et duel entre rivaux se disputant le cœur de la belle nourrissent ce grand roman d’aventures paru en 1911. L’Aventureuse étonna et étonne encore par son exotisme et sa vision décapante des rapports entre les sexes.