- EAN13
- 9782226384669
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 19/04/2010
- Collection
- Evolution de l'humanité
- Langue
- français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782226211446
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
48 pages
- Copier/Coller
-
48 pages
- Partage
-
6 appareils
12.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782226211446
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
12.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782226384669
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
48 pages
- Copier/Coller
-
48 pages
- Partage
-
6 appareils
12.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782226384669
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
12.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 18,00
En 1811, l'Empire napoléonien englobe la moitié de l'Europe ; l'autre moitié,
Espagne et Portugal soutenus par l'Angleterre exceptés, n'ose s'opposer à lui.
Rome, Bruxelles, Amsterdam, Hambourg, Cologne sont villes françaises.
L'empereur décide du destin des Allemands, des Italiens, des Suisses et de la
majeure partie de l'ancienne Pologne ; son frère aîné règne à Madrid cependant
qu'un maréchal français est choisi par le roi de Suède comme prince héritier.
Pourquoi la France a-t-elle dominé l'Europe en ce début de XIXe siècle ? Pour
la première fois on trouvera ici un tableau complet des causes de cette
suprématie : universalité de la langue française, poids de la démographie,
innovations militaires... Et cet impérialisme n'est pas né avec Napoléon : le
Grand Empire est fils de la Grande Nation.
L'écroulement de cette Europe française fut rapide : le refus de Napoléon de
créer une solidarité économique entre les États à la faveur d'un blocus
continental qui n'avantagea en définitive que l'industrie française, le réveil
des nationalismes se retournant contre la France, l'hétérogénéité des armées
levées par Napoléon à partir de 1807 sont autant de raisons de cet échec
final. Mais Metternich ne réussira pas davantage lorsqu'il voudra façonner une
autre Europe au congrès de Vienne.
Espagne et Portugal soutenus par l'Angleterre exceptés, n'ose s'opposer à lui.
Rome, Bruxelles, Amsterdam, Hambourg, Cologne sont villes françaises.
L'empereur décide du destin des Allemands, des Italiens, des Suisses et de la
majeure partie de l'ancienne Pologne ; son frère aîné règne à Madrid cependant
qu'un maréchal français est choisi par le roi de Suède comme prince héritier.
Pourquoi la France a-t-elle dominé l'Europe en ce début de XIXe siècle ? Pour
la première fois on trouvera ici un tableau complet des causes de cette
suprématie : universalité de la langue française, poids de la démographie,
innovations militaires... Et cet impérialisme n'est pas né avec Napoléon : le
Grand Empire est fils de la Grande Nation.
L'écroulement de cette Europe française fut rapide : le refus de Napoléon de
créer une solidarité économique entre les États à la faveur d'un blocus
continental qui n'avantagea en définitive que l'industrie française, le réveil
des nationalismes se retournant contre la France, l'hétérogénéité des armées
levées par Napoléon à partir de 1807 sont autant de raisons de cet échec
final. Mais Metternich ne réussira pas davantage lorsqu'il voudra façonner une
autre Europe au congrès de Vienne.
S'identifier pour envoyer des commentaires.