Confessions d'un radin repenti

De tout temps le radin a sévi et il continue de le faire. Il se rend malheureux, mais il est si facile de fermer les yeux sur soi-même. Assis sur son magot, on se croit en sécurité. On a tort, bien entendu, car l’avarice se nourrit de celui qui en vit, le rongeant de l’intérieur. Le radin a un dieu : son argent auquel il rend un culte sans rien dépenser. Et qu’importe si la peur de manquer fait des ravages, tant qu’on est à l’abri du besoin.
La bonne nouvelle, c’est qu’il y a une autre façon de vivre et que l’on n’a rien à perdre et tout à gagner ! Pour cela, il nous faut accepter de nous remettre en cause, et de considérer notre relation à l’argent avec honnêteté. Nous ne changerons pas de nos propres forces, mais si nous ouvrons notre cœur, Dieu peut y faire des merveilles.