- Format
- Poche
- EAN13
- 9782262068127
- ISBN
- 978-2-262-06812-7
- Éditeur
- Tempus Perrin
- Date de publication
- 02/03/2017
- Collection
- Tempus (675)
- Nombre de pages
- 318
- Dimensions
- 18 x 10,9 x 1,8 cm
- Poids
- 170 g
- Langue
- français
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R300294450: 2017. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 318 pages.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
- Format
- In-12
- Reliure
- Broché
16.95 (Occasion)
Abandonné par Albert Lebrun en juin 1940, apparemment vide, l’Elysée reste pourtant un lieu d’intrigues et de jeux de pouvoir pendant toute la durée de la guerre. Entre ses murs débarrassés des objets de valeur et du mobilier déménagés en lieu sûr, on voit défiler Pétain, Thorez, Laval, Darlan, Abetz, von Rundstedt… A la Libération, de Gaulle en restera éloigné et c’est Vincent Auriol qui y entrera à nouveau en 1947.
Pour reconstituer cette histoire oubliée, il fallait repartir de fragments d’archives rescapées du désastre, de papiers et de journaux négligés et, surtout, de témoignages ensevelis depuis le naufrage ou inédits, parmi lesquels celui de l’immuable concierge de ces années de guerre.
Dans le cartouche couleur :
« Un récit vif, nerveux… qui regorge de portraits à l’eau-forte… »
Valeurs actuelles
« L’Elysée ressemble au château de Kafka.
On y pense tout le temps, mais on ne s’y rend jamais. »
Le Nouvel Observateur
Pour reconstituer cette histoire oubliée, il fallait repartir de fragments d’archives rescapées du désastre, de papiers et de journaux négligés et, surtout, de témoignages ensevelis depuis le naufrage ou inédits, parmi lesquels celui de l’immuable concierge de ces années de guerre.
Dans le cartouche couleur :
« Un récit vif, nerveux… qui regorge de portraits à l’eau-forte… »
Valeurs actuelles
« L’Elysée ressemble au château de Kafka.
On y pense tout le temps, mais on ne s’y rend jamais. »
Le Nouvel Observateur
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