- Format
- Broché
- EAN13
- 9782845901469
- ISBN
- 978-2-84590-146-9
- Éditeur
- Arfuyen
- Date de publication
- 04/03/2010
- Collection
- Les Cahiers d'Arfuyen (vol. 187)
- Dimensions
- 20,5 x 13,5 x 1,1 cm
- Poids
- 174 g
- Langue
- allemand
- Langue d'origine
- allemand
- Code dewey
- 844
Paysages du ciel
Himmlische Landschaft
Traduit par Irène Kuhn, Maryse Staiber
Arfuyen
Les Cahiers d'Arfuyen
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Vendu par Librairie Point-Virgule12.00
Paysages du ciel (Himmlische Landschaft) est traduit pour la première fois en français. A travers cette sorte de journal de bord où sont consignées impressions, souvenirs et anecdotes, il est possible de découvrir un autre Schickele, attachant de simplicité et proche des réalités du quotidien.
C'est un ami peintre qui lui fait découvrir Badenweiler, au pied de la Forêt-Noire. En sa compagnie, l'écrivain alsacien retrouve les paysages de son enfance, avec leurs collines, leurs forêts et leurs vignes. C'est l'esprit même du pays alémanique qui lui apparaît de façon symbolique : Schickele y voit un seul et « grand jardin ». Son regard porte loin vers les Vosges, la Suisse et même jusqu'en Provence - il s'agit d'un « paysage ouvert ».
Rétrospectivement, ces pages prennent une signification prophétique : face à la montée du national-socialisme, Schickele quittera Badenweiler dès l'automne 1932 pour ne plus jamais y revenir. Il passera les dernières années de sa vie dans le Sud de la France où il mourra, à Vence, en janvier 1940. Les dernières pages de Himmlische Landschaft s'intitulent précisément L'Adieu. Lorsque paraîtra Himmlische Landschaft à Berlin en 1933, Schickele aura déjà quitté Badenweiler et son « arche » en pays alémanique, prise une fois de plus au coeur de la tempête.
C'est un ami peintre qui lui fait découvrir Badenweiler, au pied de la Forêt-Noire. En sa compagnie, l'écrivain alsacien retrouve les paysages de son enfance, avec leurs collines, leurs forêts et leurs vignes. C'est l'esprit même du pays alémanique qui lui apparaît de façon symbolique : Schickele y voit un seul et « grand jardin ». Son regard porte loin vers les Vosges, la Suisse et même jusqu'en Provence - il s'agit d'un « paysage ouvert ».
Rétrospectivement, ces pages prennent une signification prophétique : face à la montée du national-socialisme, Schickele quittera Badenweiler dès l'automne 1932 pour ne plus jamais y revenir. Il passera les dernières années de sa vie dans le Sud de la France où il mourra, à Vence, en janvier 1940. Les dernières pages de Himmlische Landschaft s'intitulent précisément L'Adieu. Lorsque paraîtra Himmlische Landschaft à Berlin en 1933, Schickele aura déjà quitté Badenweiler et son « arche » en pays alémanique, prise une fois de plus au coeur de la tempête.
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