- Format
- Broché
- Éditeur
- Mercure de France
- Date de publication
- 11/09/2017
- Collection
- Histoire romanesque
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Offres
- AideEAN13 : 9782715246058
- Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
Impossible
- Partage
6 appareils
- Copier/Coller
Impossible
- Lecture audio
Impossible
8.49 - Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
"Abena, ma mère, un marin anglais la viola sur le pont du Christ the King un
jour de 16** alors qu’il faisait voile vers La Barbade. C’est de cette
agression que je suis née… " Ainsi commence le roman de Maryse Condé a
consacré à Tituba, fille d’esclave, qui fut l’une des sorcières de Salem.
Comment Tituba acquit une réputation de sorcière à La Barbade, comment elle
aima et épousa John Indien, comment ils furent tous deux vendus au pasteur
Samuel Parris qui les emmena à Boston puis dans le village de Salem. C’est là,
dans cette société puritaine, que l’hystérie collective provoqua la chasse aux
sorcières et les procès tristement célèbres de 1692. Maryse Condé a choisi de
nous parler de Tituba que l’Histoire a oubliée pour ne retenir que les
sorcières blanches, celles qui furent pendues et qui inspirèrent Les sorcières
de Salem, d’Arthur Miller. De la saga africaine de Ségou, Maryse Condé est
allée vers une chronique plus intimiste, une "histoire romanesque" qui reprend
cependant les grands thèmes traités dans ses livres précédents : Les murailles
de la terre et La terre en miette (Ségou I et II)
jour de 16** alors qu’il faisait voile vers La Barbade. C’est de cette
agression que je suis née… " Ainsi commence le roman de Maryse Condé a
consacré à Tituba, fille d’esclave, qui fut l’une des sorcières de Salem.
Comment Tituba acquit une réputation de sorcière à La Barbade, comment elle
aima et épousa John Indien, comment ils furent tous deux vendus au pasteur
Samuel Parris qui les emmena à Boston puis dans le village de Salem. C’est là,
dans cette société puritaine, que l’hystérie collective provoqua la chasse aux
sorcières et les procès tristement célèbres de 1692. Maryse Condé a choisi de
nous parler de Tituba que l’Histoire a oubliée pour ne retenir que les
sorcières blanches, celles qui furent pendues et qui inspirèrent Les sorcières
de Salem, d’Arthur Miller. De la saga africaine de Ségou, Maryse Condé est
allée vers une chronique plus intimiste, une "histoire romanesque" qui reprend
cependant les grands thèmes traités dans ses livres précédents : Les murailles
de la terre et La terre en miette (Ségou I et II)
S'identifier pour envoyer des commentaires.