Pourquoi peut-on dire entraîneur, mais pas entraîneuse ? Pourquoi certains masculins en eur ont-ils un féminin en ice, tandis que d'autres le forment en eure et d'autres encore, en euse ? Et pourquoi - ce qui n'a jamais été dit, ni écrit - le féminin en euse est-il péjoratif alors que celui en trice est valorisant ? Entre copieuse et bienfaitrice, notez la différence... Voici livrées, comme un jeu divertissant, les clefs historiques des subtiles et complexes « formes féminines » du français. Pour la paix des ménages et la parité en général !
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