- Format
- Broché
- EAN13
- 9782226176820
- ISBN
- 978-2-226-17682-0
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 31/01/2007
- Collection
- A.M. G.TRADUCT
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 22,5 x 15 x 2,3 cm
- Poids
- 432 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
Le Roi dans l'arbre
Trois récits
De Steven Millhauser
Traduit par Marc Chénétier
Albin Michel
A.M. G.Traduct
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Livre de bibliothèque, tampons présents - Albin Michel GF - 2007 - 9782226176820 - Grand Format
3.19 (Occasion)
L'art de l'écrivain Steven Millhauser tient de la magie. Maître en sortilèges, il s'entend à maintenir le lecteur à la frontière du réel et de l'imaginaire, du visible et du possible. Comme en suspens. Le Roi dans l'arbre s'inscrit dans la parfaite continuité d'une oeuvre à la fois puissante et légère. Millhauser y explore à travers trois « novellas » le thème de l'amour. Illusions, jeux de masques, trahison et vengeance sont au coeur de ce magnifique triptyque qui conjugue le moderne et l'intemporel, et revisite notamment les mythes de Don Juan et de Tristan et Yseult.
« Un livre irrésistible. Millhauser est un virtuose du rêve éveillé. »
The New Yorker.
« Milhauser, maître borgésien de l'illusion, joue avec le lecteur tel un prestidigitateur. [...] Un Proust shakespearien et onirique. » Marie Zawiswa, Le Monde des livres.
« Steven Millhauser nous plonge dans un étrange univers où le factice, affiché, revendiqué, avec es automates, ses constructions labyrinthiques et ses mises en abîme, invite évidemment à la réflexion sur les rapports entre l'artifice et le réel. » François Happe, La Quinzaine littéraire.
« Un livre irrésistible. Millhauser est un virtuose du rêve éveillé. »
The New Yorker.
« Milhauser, maître borgésien de l'illusion, joue avec le lecteur tel un prestidigitateur. [...] Un Proust shakespearien et onirique. » Marie Zawiswa, Le Monde des livres.
« Steven Millhauser nous plonge dans un étrange univers où le factice, affiché, revendiqué, avec es automates, ses constructions labyrinthiques et ses mises en abîme, invite évidemment à la réflexion sur les rapports entre l'artifice et le réel. » François Happe, La Quinzaine littéraire.
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