- Format
- Broché
- EAN13
- 9782259211086
- ISBN
- 978-2-259-21108-6
- Éditeur
- Plon
- Date de publication
- 07/10/2010
- Collection
- Feux croisés
- Nombre de pages
- 166
- Dimensions
- 22,7 x 14,3 x 1,6 cm
- Poids
- 236 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- polonais
- Code dewey
- 070.433
À travers ce recueil posthume de reportages, inédit en France, le grand reporter montre ici le visage du journaliste engagé. Son regard se porte sur trois points "chauds" du globe dans les années 1970: le Moyen-Orient, l'Amérique du Sud et l'Afrique. Comme toujours, avec KAPUSCINSKI , l'écriture est précise, intelligente, claire, et le propos, férocement actuel.
À travers ce recueil posthume inédit en France, le grand reporter montre le visage du journaliste engagé. Son regard se porte sur trois points " chauds " du globe dans les années 1970: Moyen-Orient, Amérique du Sud et Afrique. Comme toujours chez Kapu?ci?ski, l'écriture est précise, intelligente, et le propos férocement actuel. Décrivant des mouvements partisans ou révolutionnaires, le reporter s'attache chaque fois à un destin particulier pour dresser un tableau politique plus général. Mais ce qui frappe surtout, c'est l'engagement du journaliste, sa capacité à s'insurger. Le monde qu'il peint est absurde, cynique, la violence y est omniprésente, la démocratie y est un paravent à toutes les hypocrisies favorisant l'esclavage, la répression, le crime...
À travers ce recueil posthume inédit en France, le grand reporter montre le visage du journaliste engagé. Son regard se porte sur trois points " chauds " du globe dans les années 1970: Moyen-Orient, Amérique du Sud et Afrique. Comme toujours chez Kapu?ci?ski, l'écriture est précise, intelligente, et le propos férocement actuel. Décrivant des mouvements partisans ou révolutionnaires, le reporter s'attache chaque fois à un destin particulier pour dresser un tableau politique plus général. Mais ce qui frappe surtout, c'est l'engagement du journaliste, sa capacité à s'insurger. Le monde qu'il peint est absurde, cynique, la violence y est omniprésente, la démocratie y est un paravent à toutes les hypocrisies favorisant l'esclavage, la répression, le crime...
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