Cahiers de Sainte-Hélène
Les 500 derniers jours, 1820-1821
De Henri Gatien Bertrand
Préface de Thierry Lentz
Édité par François Houdecek
Perrin
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Vendu par Librairie de l'Avenue
- Description
- In-8 broché 24,5 cm sur 16,1. 364 pages. Bon état d’occasion
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- BE
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- in-8°
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- Couverture souple
24.00 (Occasion)
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Le meilleur témoignage sur la fin de Napoléon
Présent à Sainte-Hélène du début à la fin de la captivité, Henry-Gatien Bertrand a laissé un témoignage majeur notant au jour le jour les propos de son maître, les tensions avec Hudson Lowe et la vie tumultueuse de la petite communauté française. La présente édition publie les deux dernières années des Cahiers dont, pour la première fois, l'année 1820 demeurée entièrement inédite et sur laquelle il n'existe aucun autre témoignage d'envergure alors qu'elle est charnière. Scribe du triste quotidien, le Grand-Maréchal raconte la transformation graduelle, jour par jour, heure par heure de Napoléon se métamorphosant en malade, puis en mourant. Tel un greffier, il consigne dans son Journal la lente agonie de son Empereur et maître qu'il sert avec une loyauté qui force l'admiration tant le dernier Napoléon est difficile. Le 5 mai 1821 à 17h49, il est le premier à embrasser la main morte de celui qui avait gouverné sa vie pendant 20 ans. Liés dans l'exil, les deux hommes le sont dans la mort et pour l'éternité puisque Bertrand a rejoint Napoléon aux Invalides en 1847. Un document capital dans l'édition de référence qui faisait défaut.
Présent à Sainte-Hélène du début à la fin de la captivité, Henry-Gatien Bertrand a laissé un témoignage majeur notant au jour le jour les propos de son maître, les tensions avec Hudson Lowe et la vie tumultueuse de la petite communauté française. La présente édition publie les deux dernières années des Cahiers dont, pour la première fois, l'année 1820 demeurée entièrement inédite et sur laquelle il n'existe aucun autre témoignage d'envergure alors qu'elle est charnière. Scribe du triste quotidien, le Grand-Maréchal raconte la transformation graduelle, jour par jour, heure par heure de Napoléon se métamorphosant en malade, puis en mourant. Tel un greffier, il consigne dans son Journal la lente agonie de son Empereur et maître qu'il sert avec une loyauté qui force l'admiration tant le dernier Napoléon est difficile. Le 5 mai 1821 à 17h49, il est le premier à embrasser la main morte de celui qui avait gouverné sa vie pendant 20 ans. Liés dans l'exil, les deux hommes le sont dans la mort et pour l'éternité puisque Bertrand a rejoint Napoléon aux Invalides en 1847. Un document capital dans l'édition de référence qui faisait défaut.
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