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Chardin (Nouvelle édition revue et corrigée)
Format
Relié
EAN13
9782754105477
ISBN
978-2-7541-0547-7
Éditeur
Hazan
Date de publication
Collection
Monographie
Nombre de pages
288
Dimensions
34 x 28,5 cm
Poids
3540 g
Langue
français
Code dewey
759.4

Chardin (Nouvelle édition revue et corrigée)

De

Hazan

Monographie

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  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    RO30377735: 2011. In-Folio. Relié. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 287 pages. Nombreuses reproductions en couleurs, in et hors texte.. . . . Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
    État de l'exemplaire
    Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable
    Format
    In-Folio
    Reliure
    Relié
    255.00 (Occasion)
- Nouvelle édition de cette monographie de référence sur Chardin, le maître de la nature morte. Un grand texte, de charme et d’érudition, servi par une iconographie exceptionnelle. 128 œuvres reproduites en couleurs et qui place Chardin à son rang, le tout premier dans une époque fertile en génies. Ouvragfe relié sous jaquette avec étui.

Autodidacte, lent, casanier, solitaire, petit bourgeois parisien sans fantaisie, peintre de sujets sans prestige… D’où vient donc que Chardin (1699-1779) ait été, de son vivant déjà, considéré comme l’un des plus grands, que Catherine II, le Grand Frédéric, la reine de Suède, la margravine de Bade se soient arraché ses tableaux, que Diderot lui ait consacré des textes qui circulaient dans toute l’intelligentsia européenne, que sa pension royale ait été la plus élevée parmi les artistes de son temps  ? D’où vient que, jusqu’à maintenant, son œuvre ait gardé intact son pouvoir de fascination  ? Marianne Roland Michel s’est attachée à ce mystère Chardin. Elle montre comment ce peintre, qui n’avait jamais appris le dessin – ce qui lui interdisait le grand genre, la peinture d’Histoire -, se met soudain, au soir de sa vie, à dessiner au pastel comme les meilleurs. Elle décrit le balancement qui le conduit, entre natures mortes et sujets de la vie quotidienne, à toujours surprendre par la nouveauté, arrachant à Diderot des cris d’enthousiasme (Vous revoilà donc, grand magicien avec vos compositions muettes  : Quelles parlent éloquemment à l’artiste  ! Tout ce qu’elles lui disent sur l’imitation de la nature, la science de la couleur et l’harmonie  ! ). Elle analyse sa palette, sa touche, son faire raboteux, et sa lenteur célèbre qui faisait dire à son ami, Claude-Nicolas Cochin, qu’il les repeignait [ses tableaux] jusqu’à ce qu’il fût parvenu à cette rupture de tons que produit l’éloignement de l’objet et les renvois de tous ceux qui l’environnent, et qu’enfin il eût obtenu cet accord magique qui l’a si supérieurement distingué.   Un grand texte, de charme et d’érudition, servi par une iconographie exceptionnelle (128 œuvres reproduites en couleurs et qui place Chardin à son rang, le tout premier dans une époque fertile en génies.
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