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Cynisme et mensonge, Macron ou le déni de démocratie
Format
Broché
EAN13
9782372631280
ISBN
978-2-37263-128-0
Éditeur
LIBRE SOLIDAIRE
Date de publication
Collection
1000 RAISONS
Nombre de pages
226
Dimensions
22,3 x 15,3 x 1,7 cm
Poids
360 g
Langue
français

Cynisme et mensonge

Macron ou le déni de démocratie

De

Libre Solidaire

1000 Raisons

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Depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017, nous assistons à un recul des institutions démocratiques. Sous couvert d'« efficacité », l'actuel président de la République détruit petit à petit les contre-pouvoirs. À l'instar de ses prédécesseurs, il souhaite imposer le programme ultralibéral tel que l'a désiré un Reagan aux États-Unis ou une Thatcher en Angleterre. Alors que les remèdes proposés par les économistes de l'école néo-classique ont montré depuis longtemps leurs limites, il est clair que Macron et ceux qui le soutiennent n'en ont cure. Ils ont comme objectif principal de faire triompher un type de société et un type d'homme, lesquels favorisent la toute-puissance d'une élite cherchant à accumuler toujours davantage et, partant, à préserver leurs intérêts personnels au détriment de la majorité de la population. Bien sûr, un tel déni de l'intérêt général exige la mise en place d'un mensonge permanent. Ce qui ne pose nullement problème à un pouvoir foncièrement cynique. Outre l'emploi systématique du mensonge, ce pouvoir représenté par Macron n'hésite pas à user des préjugés les plus simples pour mieux légitimer son autorité.
La répression déployée lors du mouvement des Gilets jaunes et le principe de division, arme célébrée par le néomanagement dans les entreprises, sont les outils dont font preuve les gouvernants en place. En raison d'une mainmise de ces derniers sur les principaux médias, il est certain que la France subit progressivement un recul démocratique.
D'où l'intérêt d'une remise en question du modèle démocratique en tant que tel. Il ne s'agit plus de favoriser une démocratie dite « participative », mais de donner directement le pouvoir aux citoyens par la « législation directe par le peuple ».
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