Mon algérie

Vingt-sept années* après que ce pays est devenu indépendant, des Pieds-Noirs – célèbres ou anonymes – se penchent sur leur passé. Ont-ils enfin le recul nécessaire et la sérénité indispensable pour dresser le bilan sentimental et idéologique de ce que fut pour eux l’Algérie « d’avant », puis l’exil ?

Mon Algérie est la longue lettre inachevée faite de sermons, de tendres reproches et d’aveux passionnés que les Pieds-Noirs ne cessent en secret d’adresser à leur patrie perdue.
Y retourner ? jamais ! Le cri est presque unanime. Il faudra encore du temps, vingt-sept autres années, peut-être. Pourtant, ceux qui ont fait le pas – et dont le nombre chaque année s’accroît – en reviennent non pas guéris mais apaisés.

Avec les témoignages de :
Jean- Luc Allouche, Alexandre Arcady, Roland Bacri Geneviève Baïlac, Pierre Neassayag, Albert Bensoussan,Philippe Boukara, Jean Claude Brialy, Marie Cardinal, Pierre Cardinal Robert Castel Edmond Charlt hélène Cixous, Annie Cohen Bernard Cohen Jean Daniel Jean-Pierre Elkabbach, Gérard Faivre, Marc Garanger, Gérard Garcia, Louis Gardel, Sylvain Ghenassia, Guy Gilles, Pierre Goinard, Paule Granier, Attica Guedj, René Hayot , Georges Hirtz, Janine de la Hogue, Joëlle Hureau, Pierre Mesguish, Georges Morin, Jean- Noël Pancrazy, Jean Pelegri, Norbert Régina, M. Rhais, Viviane Romance, Jules Roy, Roger Saïd, Lucette Sahuquet ; Adeline Sidirroff, Jacques Soustelle, Morgan Sportes, Fernande Stora, Henri Touitou, Geneviève de Ternant, Pierre Jean Vaillard, Marthe Villalonga, Yves Vincent, Alain Vircondelet.
Réédité à l’identique, cet ouvrage publié aux éditions Acropole en 1989, est composé 62 témoignages parmi lesquels ceux de Morgan Sportes, Edmond Jouhaud, Roland Bacri, Alexandre Arcady, Daniel Mesguish, Marthe Villalonga, Enrico Macias, Jean Claude Brialy, Marie Cardinal, Yves Vincent, Alain Vircondelet etc...