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Un Noël/One Christmas - L'Invité d'un jour/The Thanksgiving visitor
Format
Broché
EAN13
9782070384372
ISBN
978-2-07-038437-2
Éditeur
Folio
Date de publication
Collection
Folio bilingue
Nombre de pages
160
Dimensions
17,8 x 10,8 x 1,1 cm
Poids
110 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Code dewey
813.54

Un Noël/One Christmas - L'Invité d'un jour/The Thanksgiving visitor

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Folio

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  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    R240107976: 1991. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 145 pages Français/Anglais en regard - quelques planches photos noir et blanc et couleur. . . . Classification Dewey : 410-Linguistique
    État de l'exemplaire
    Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
    Format
    In-12
    Reliure
    Broché
    30.90 (Occasion)
First, a brief autobiographical prologue. My mother, who was exceptionally intelligent, was the most beautiful girl in Alabama. Everyone said so, and it was true ; and when she was sixteen she married a twenty-eight-year-old businessman who came from a good New Orleans family. The marriage lasted a year. My mother was too young to be a mother or a wife ; she was also too ambitious - she wanted to go to college and to have a career. So she left her husband ; and as for what to do with me, she deposited me in the care of her large Alabama family. Over the years, I seldom saw either of my parents. My father was occupied in New Orleans, and my mother, after graduating from college, was making a success for herself in New York. So far as I was concerned, this was not an unpleasant situation. I was happy where I was. I had many kindly relatives, aunts and uncles and cousins, particularly one cousin, an eld-erly, white-haired, slightly crippled woman named Sook. Miss Sook Faulk. I had other friends, but she was by far my best friend. [...] «Tout d'abord, un bref prologue autobiographique. Ma mère, être d'une intelligence exceptionnelle, était la plus belle fîlle de I'Alabama. Tout le monde le disait et c'était vrai ; à seize ans, elle épousa un homme d'affaires de vingt-huit ans, issu d'une bonne famille de La Nouvelle-Orléans. Leur mariage dura un an. Ma mère était trop jeune pour jouer le rôle d'une mère de famille ou d'une épouse ; elle était aussi trop ambitieuse. Elle voulait aller au collège et faire une carrière. Elle quitta donc son mari ; quant à moi, elle me confia à la garde de sa nombreuse famille d'Alabama. Les années passant, je ne vis que rarement mes parents. Mon père était occupé à La Nouvelle-Orléans et ma mère, une fois sortie du collège, réussissait brillamment à New York. Cette situation ne manquait pas d'agrément pour moi. J'étais heureux où je me trouvais. J'avais de nombreux parents très gentils, tantes, oncles et cousins, et en particulier, une cousine, une vieille dame aux cheveux blancs, un peu infirme, qui s'appelait Sook. Miss Sook Faulk. J'avais d'autres amis, mais elle était de loin pour moi la meilleure.» [...]
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