- Format
- Relié
- EAN13
- 9782732434674
- ISBN
- 978-2-7324-3467-4
- Éditeur
- La Martinière Jeunesse
- Date de publication
- 03/07/2007
- Collection
- La vie des enfants
- Nombre de pages
- 48
- Dimensions
- 27,8 x 21,9 x 1 cm
- Poids
- 427 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 305.23
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Etat Correct - Livre de bibliothèque, tampons présents - La vie des enfants - 2006 - 9782732434674 - Grand Format
3.19 (Occasion)
Faire connaître aux enfants d'aujourd'hui la vie quotidienne des enfants d'hier, telle est l'ambition de la collection "La vie des enfants". Comment vivaient-ils ? Allaient-ils à l'école ? Que mangeaient-ils ? Quels étaient leurs jeux ? Leurs parents étaient-ils sévères ? Autant de questions, autant de réponses apportées par des historiens, spécialistes en leur domaine, qui s'appuient sur des documents visuels d'époque.
Au Moyen Age, naître fille ou naître garçon n'a pas la même valeur. Si chaque enfant est généralement bien accueilli dans sa famille et aimé par ses parents, son destin sera différent suivant son sexe. Les raisons en sont nombreuses, et profondément ancré dans les mentalités de l'époque : l'Eglise est méfiante vis-à-vis des femmes, qu'elles considèrent comme inférieures. Elle en veut pour preuve le fait qu'Eve est née de la côte d'Adam et que c'est elle qui lui a fait croquer la pomme ; les questions d'héritage et de chevalerie font porter naturellement la préférence vers les descendants mâles.
Au Moyen Age, naître fille ou naître garçon n'a pas la même valeur. Si chaque enfant est généralement bien accueilli dans sa famille et aimé par ses parents, son destin sera différent suivant son sexe. Les raisons en sont nombreuses, et profondément ancré dans les mentalités de l'époque : l'Eglise est méfiante vis-à-vis des femmes, qu'elles considèrent comme inférieures. Elle en veut pour preuve le fait qu'Eve est née de la côte d'Adam et que c'est elle qui lui a fait croquer la pomme ; les questions d'héritage et de chevalerie font porter naturellement la préférence vers les descendants mâles.
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