- Format
- Broché
- EAN13
- 9782370320094
- ISBN
- 978-2-37032-009-4
- Éditeur
- IUV
- Date de publication
- 10/12/2013
- Collection
- THESES (n° 80)
- Nombre de pages
- 686
- Dimensions
- 24 x 16 x 3,5 cm
- Poids
- 1102 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 353.4094409
plumes de fer et robes de papier. logiques institutionnelles et pratiques politi
logiques institutionnelles et pratiques politiques du Parlement de Paris au XVIIIe siècle, 1715-1790
De David Feutry
Iuv
Theses
Titre: Plumes de fer et robes de papier. Logiques institutionnelles et pratiques politiques du parlement de Paris au XVIIIe siècle, 1715-1790
Theme1: Droit - Théorie / Sociologie / Histoire / Philosophie / Histoire du droit - Histoire du droit
Theme2:
Résumé: Les historiens ont souvent interprété les relations entre le Parlement et la monarchie comme un combat qui devait amener à la Révolution. Par orgueil et égoïsme, le Parlement avait tenté de s'arroger les prérogatives royales. La réalité était bien plus complexe. Le Parlement n'était pas le bourreau de la monarchie. Il avait toujours cherché à l'aider dans ses choix, en lui montrant la voie qu'il trouvait la plus sage, au vu des circonstances et des enseignements du droit et de l'histoire. L'étude institutionnelle des rouages de la cour, la mise en perspective des revenus des conseillers à travers les épices et l'analyse de la recherche d'une justification de sa fonction à travers l'histoire, montrent le rôle de la cour dans l'évolution du XVIIIe siècle.
David Fleutry , Archiviste paléographe, agrégé de l'université et docteur en histoire. Il est membre du centre Jean Mabillon (EA 3624, École nationale des chartes) et enseigne l'histoire-géographie au lycée Édouard Branly de Dreux.
Theme1: Droit - Théorie / Sociologie / Histoire / Philosophie / Histoire du droit - Histoire du droit
Theme2:
Résumé: Les historiens ont souvent interprété les relations entre le Parlement et la monarchie comme un combat qui devait amener à la Révolution. Par orgueil et égoïsme, le Parlement avait tenté de s'arroger les prérogatives royales. La réalité était bien plus complexe. Le Parlement n'était pas le bourreau de la monarchie. Il avait toujours cherché à l'aider dans ses choix, en lui montrant la voie qu'il trouvait la plus sage, au vu des circonstances et des enseignements du droit et de l'histoire. L'étude institutionnelle des rouages de la cour, la mise en perspective des revenus des conseillers à travers les épices et l'analyse de la recherche d'une justification de sa fonction à travers l'histoire, montrent le rôle de la cour dans l'évolution du XVIIIe siècle.
David Fleutry , Archiviste paléographe, agrégé de l'université et docteur en histoire. Il est membre du centre Jean Mabillon (EA 3624, École nationale des chartes) et enseigne l'histoire-géographie au lycée Édouard Branly de Dreux.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
9,00Christian Chevandier, Marc Renneville, Vincent Denis, Bruno Bertherat, Michel Porret, Eric Panthou, Vidoni Nicolas, Fabien Gaveau, Arnaud-Dominique Houte, Amos Frappa, Olivier Dard, Jean-Pierre Bat, Frédéric Chavaud, François Audigier, René Lévy, Claud...
-
18,00Laurent Brassart, Amable Sablon du Corail, David Feutry, Stéphane Pannekoucke