- Format
- Relié
- EAN13
- 9782742762767
- ISBN
- 978-2-7427-6276-7
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 30/08/2006
- Collection
- Littérature espagnole
- Nombre de pages
- 288
- Dimensions
- 21,7 x 11,5 x 2 cm
- Poids
- 260 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Code dewey
- 850
A la Vitesse de la lumière
roman
De Javier Cercas
Traduit par Élisabeth Beyer, Aleksandar Grujičić
Actes Sud
Littérature espagnole
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Vendu par Livres sur Sorgue
- État de l'exemplaire
- Très Bon Etat
- Format
- in8. 2006. Broché. 285 pages. LIVRE D'OCCASION -veuillez lire la description complète de nos annonces avec leur état . Envois en suivi pour la France et l'étranger
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Autre version disponible
Dans une université américaine, un écrivain débutant, qui pourrait s'appeler Cercas, se lie d'amitié avec un vétéran du Vietnam anéanti par le poids de son passé.
A son retour en Espagne, le succès de l'un de ses romans le propulse soudain au firmament et, gorgé de suffisance, il ne sait pas voir qu'il a perdu son âme. Un drame se produit auquel, peut-être, il faudrait survivre. Aux portes de l'enfer, qui s'ouvrent béantes sur le mépris de soi et le désir de mort, il unit son destin à celui de l'ami américain. Dans une impunité souveraine, l'un a ressenti la jouissance de tuer sans raison, l'autre a connu le vertige d'abuser de son piètre pouvoir. A la vitesse de la lumière, ils se sont pris pour des dieux pour se retrouver, brisés, dans ce sentiment archaïque et latent qu'est la culpabilité.
Dès lors, seul raconter l'un peut sauver l'autre.
Si Javier Cercas pointe notre capacité illimitée à faire le mal et l'effroyable nature de la guerre et du succès, il établit surtout le pouvoir de la littérature pour affronter toutes les réalités du monde.
A son retour en Espagne, le succès de l'un de ses romans le propulse soudain au firmament et, gorgé de suffisance, il ne sait pas voir qu'il a perdu son âme. Un drame se produit auquel, peut-être, il faudrait survivre. Aux portes de l'enfer, qui s'ouvrent béantes sur le mépris de soi et le désir de mort, il unit son destin à celui de l'ami américain. Dans une impunité souveraine, l'un a ressenti la jouissance de tuer sans raison, l'autre a connu le vertige d'abuser de son piètre pouvoir. A la vitesse de la lumière, ils se sont pris pour des dieux pour se retrouver, brisés, dans ce sentiment archaïque et latent qu'est la culpabilité.
Dès lors, seul raconter l'un peut sauver l'autre.
Si Javier Cercas pointe notre capacité illimitée à faire le mal et l'effroyable nature de la guerre et du succès, il établit surtout le pouvoir de la littérature pour affronter toutes les réalités du monde.
Commentaires des libraires
Aux Etats-Unis, un écrivain se lie d'amitié avec un vétéran du Vietnam appelé sous les drapeaux quand il était étudiant... Il avait hésité à partir, mais le père avait fait la guerre ; le grand-père avait fait la guerre ; ...
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