- Format
- Broché
- EAN13
- 9782859442507
- ISBN
- 978-2-85944-250-7
- Éditeur
- Publications de la Sorbonne
- Date de publication
- 1994
- Collection
- HISTOIRE ANCIEN (29)
- Nombre de pages
- 262
- Dimensions
- 24 x 16 x 1,7 cm
- Poids
- 450 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 940.1
La circulation des nouvelles au Moyen Âge
De Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, Congrès
Publications de la Sorbonne
Histoire Ancien
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Vendu par Bouquinerie Mouvements d'Idées
- Description
- XXIVe Congrès de la Société des Historiens médiévistes de l'Enseignement Supérieur, Avignon, juin 1993. 1994. Grand in-8° broché, 254 p. Discrètes annotations au crayon dans les marges.
- État de l'exemplaire
- Bon
- Reliure
- Broché
15.00 (Occasion)
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Faut-il rappeler qu'au cours de la première année de son pontificat, Grégoire XI fit envoyer par sa chancellerie 15 450 lettres communes sans compter les lettres secrètes et curiales ? À une échelle moindre, les États nationaux en formation, les compagnies commerciales et financières de Toscane éprouvaient des besoins d'information semblables et cherchaient à améliorer la circulation des nouvelles.
Il faut s'interroger aussi sur les modalités de la transmission et sur la vitesse à laquelle les événements, grands ou petits, pouvaient être connus grâce à des courriers, des voyageurs ou des marchands.
Plus spontanée, plus diffuse aussi, la rumeur, ce « plus vieux media du monde », pose d'autres problèmes : comment naît-elle ? se propage-t-elle ? quel en est le contenu ? quelle place joue-t-elle dans le jeu politique, et plus largement dans le corps social ?
L'étude des réseaux de communication mène ainsi de la rue à l'échoppe, des relais de chevaux mongols aux coursiers des rois et des papes. Elle nous fait parcourir le monde médiéval, de la Chine à l'Égypte, de Rome à Venise et des Balkans à la Catalogne, sans oublier le royaume de France divisé et meurtri par la guerre de Cent Ans.
Il faut s'interroger aussi sur les modalités de la transmission et sur la vitesse à laquelle les événements, grands ou petits, pouvaient être connus grâce à des courriers, des voyageurs ou des marchands.
Plus spontanée, plus diffuse aussi, la rumeur, ce « plus vieux media du monde », pose d'autres problèmes : comment naît-elle ? se propage-t-elle ? quel en est le contenu ? quelle place joue-t-elle dans le jeu politique, et plus largement dans le corps social ?
L'étude des réseaux de communication mène ainsi de la rue à l'échoppe, des relais de chevaux mongols aux coursiers des rois et des papes. Elle nous fait parcourir le monde médiéval, de la Chine à l'Égypte, de Rome à Venise et des Balkans à la Catalogne, sans oublier le royaume de France divisé et meurtri par la guerre de Cent Ans.
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