- Format
- Relié
- EAN13
- 9782221069998
- ISBN
- 978-2-221-06999-8
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 22/11/1990
- Collection
- Pavillons
- Séries
- Toutes ses nouvelles / Dino Buzzati. (1)
- Nombre de pages
- 722
- Dimensions
- 25 x 16 x 5,7 cm
- Poids
- 1035 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 853.91
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Vendu par Librairie de l'Avenue
- Description
- In-8 Cartonnage éditeur gris. 24,5 cm sur 16,0. 714 pages. Pas de jaquette illustrée. Très bon état d’occasion
- État de l'exemplaire
- TBE
- État de la jaquette
- Pas de jaquette
- Reliure
- Couverture rigide
24.00 (Occasion)
"Un jour viendra où l'œuvre de Buzzati se révèlera comme un tableau génial des temps modernes et la révolte nécessaire y puisera une neuve énergie." Max-Pol Fouchet
"Les héros de Buzzati portent tous en eux cette blessure existentielle, ces relents d'angoisse, de forfaiture, de convoitises et de fureur que nous connaissons tous sans toujours les admettre et sans lesquels, peut-être, nous ne trouverions aucun goût à la vie. Et c'est ce qui en fait la tragique grandeur.A leur image, Buzzati lui-même, qui affichait face au monde une pose hiératique et ne se livrait que dans ses écrits, n'était ni un foudre de guerre, ni un don Juan ni même un brillant personnage. Rien qu'un grand écrivain, à l'écoute des angoisses et des faiblesses humaines et se préparant patiemment, méthodiquement, au fil des ans et des innombrables textes uniquement destinés à narguer la camarde, à l'ultime rencontre, à cet instant de vérité où l'homme se retrouve seul, et nu, face à son pauvre destin. Et ce jour-là (très exactement le 28 janvier 1972) Dino Buzzati, enfin parvenu devant les immenses portes de bronze, sut que son combat n'avait pas été vain et que, comme dans "Les murs d'Anagoor", ces portes allaient finir par s'ouvrir toutes grandes devant lui.Prométhée enfin délivré, couronné, mais pas celui de Kafka dont le supplice était devenu sans raison, plutôt celui de Shelley (que son ami et mentor Brambilla lui avait appris à aimer) qui voulait espérer jusqu'à ce que l'espoir crée son propre désastre ce à quoi il aspire."Michel Breitman, extrait de la préface.
"Les héros de Buzzati portent tous en eux cette blessure existentielle, ces relents d'angoisse, de forfaiture, de convoitises et de fureur que nous connaissons tous sans toujours les admettre et sans lesquels, peut-être, nous ne trouverions aucun goût à la vie. Et c'est ce qui en fait la tragique grandeur.A leur image, Buzzati lui-même, qui affichait face au monde une pose hiératique et ne se livrait que dans ses écrits, n'était ni un foudre de guerre, ni un don Juan ni même un brillant personnage. Rien qu'un grand écrivain, à l'écoute des angoisses et des faiblesses humaines et se préparant patiemment, méthodiquement, au fil des ans et des innombrables textes uniquement destinés à narguer la camarde, à l'ultime rencontre, à cet instant de vérité où l'homme se retrouve seul, et nu, face à son pauvre destin. Et ce jour-là (très exactement le 28 janvier 1972) Dino Buzzati, enfin parvenu devant les immenses portes de bronze, sut que son combat n'avait pas été vain et que, comme dans "Les murs d'Anagoor", ces portes allaient finir par s'ouvrir toutes grandes devant lui.Prométhée enfin délivré, couronné, mais pas celui de Kafka dont le supplice était devenu sans raison, plutôt celui de Shelley (que son ami et mentor Brambilla lui avait appris à aimer) qui voulait espérer jusqu'à ce que l'espoir crée son propre désastre ce à quoi il aspire."Michel Breitman, extrait de la préface.
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