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Le héros épique, Peinture d'histoire et politique artistique dans la France du 17e siècle
Format
Broché
EAN13
9782735111688
ISBN
978-2-7351-1168-8
Éditeur
Maison des sciences de l'homme
Date de publication
Collection
Passages/Passagen
Nombre de pages
526
Dimensions
24 x 17 x 3,5 cm
Poids
1314 g
Langue
français
Langue d'origine
allemand
Code dewey
759.409

Le héros épique

Peinture d'histoire et politique artistique dans la France du 17e siècle

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  • Vendu par Librairie Papeterie Aux Lettres de Mon Moulin
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    Description
    Préface de Thomas W. Gaehtgens. Traduit de l'allemand par Aude Virez-Wallon et Jean-Léon Müller. Editions de la Maison des Sciences de l'Homme, collection Passages, Centre allemand d'Histoire de l'Art, vol. 20. 2008. 104 illustrations dans le texte et XXIV planches couleurs hors texte, dont certaines dépliantes. Grand in-8° broché, couverture à rabats, 526 p. Nom d'ancien propriétaire en page de garde.
    État de l'exemplaire
    Bon
    Reliure
    Broché
    36.00 (Occasion)

Autre version disponible

Lorsque Henri IV a décidé, au tournant du 17e siècle, d'utiliser l'art à des fins politiques, ses projets étaient peu spectaculaires d'un point de vue strictement artistique. Ce n'est que petit à petit que l'État absolutiste grandissant a aspiré à une nouvelle forme de représentation susceptible de répondre à des attentes artistiques plus élevées. Ainsi, les successeurs de Henri IV, Louis XIII et Louis XIV, ont eu de plus en plus recours à la peinture d'histoire, considérée comme le genre artistique le plus noble. Les aspirations artistiques et politiques se rejoignirent dans la recherche d'une peinture capable de transposer des histoires à narration complexe. Or, en France, un tel genre restait à élaborer et c'est la politique qui en fut à l'origine. Cette union entre l'art et la politique artistique se révéla profitable aussi bien pour l'État que pour l'art lui-même : si l'État a ainsi pu disposer d'un moyen de représentation convaincant, l'art y a trouvé une forme d'expression jusqu'alors inconnue en France et qui devint vite un modèle pour d'autres pays. Mais les deux chemins devaient rapidement diverger. Ne pouvant plus répondre aux exigences toujours plus fortes de la politique, l'art devait se soustraire doucement à son influence. La voie était alors tracée pour la quête d'un art moderne et libre, objet de tant de discussions au 18e siècle.
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