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Le Mont Perclus de ma solitude
Format
Broché
EAN13
9782818037669
ISBN
978-2-8180-3766-9
Éditeur
P.O.L.
Date de publication
Collection
Essais
Nombre de pages
208
Dimensions
20,5 x 20,5 x 1,7 cm
Poids
415 g
Langue
français
Langue d'origine
français

Le Mont Perclus de ma solitude

De

P.O.L.

Essais

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  • Vendu par Démons et merveilles
    État de l'exemplaire
    french édition - l'article qui n'a jamais été lu présente de légères marque de stockage mais reste en bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France
    Format
    20x15x2cm. 2015. Broché. 208 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
    8.99 (Occasion)

C roman s’ouvre sur une invitation que la section toulousaine du Club alpin français a adressée à Fred Léal. On lui propose de refaire en sa compagnie l’ascension du Mont Perdu (à la frontière franco-espagnole des Pyrénées) cadre d’un de ses romans, "Un trou sous la brèche". Cette initiative fort sympathique et qui ouvrira des perspectives aux rencontres d’écrivains, va, bien évidemment tourner au loufoque. Car Fred Léal écrit un roman déguilé, fait de fragments de dialogues, de descriptions, de réflexions, de propos entendus à la radio....

"Le Mont Perdu ? Il n'y avait enfant qui ne le sût par cour, sans qu'on fût pour cela plus d'accord sur les choses que sur les noms. L'un le plaçait en France, l'autre en Espagne. Tel l'avait vu en passant la brèche du Taillon, mais à son compte il y avait deux ou trois Monts-Perdus. Tel autre le traitait si familièrement que dans sa jeunesse il y avait mené paître des moutons ; tandis qu'on m'assurait ailleurs que le plus hardi chasseur du pays n'en avait atteint la cime qu'à l'aide du diable qui l'y avait conduit par dix-sept degrés.
Il était clair que personne ne connaissait le Mont-Perdu et que jamais, depuis qu'on nomme des montagnes, il n'y en eût une aussi bien nommée."
Louis-François Ramond, Voyages au Mont-Perdu et dans la partie adjacente des Hautes-Pyrénées, Belin, 1801.
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