- Format
- Poche
- EAN13
- 9782221189085
- ISBN
- 978-2-221-18908-5
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 02/07/2015
- Collection
- Pavillons Poche
- Nombre de pages
- 522
- Dimensions
- 18,2 x 12,3 x 2,7 cm
- Poids
- 323 g
- Langue
- français
La servante écarlate - Pavillons poche - NE
De Margaret Atwood
Traduit par Sylviane Rué
Robert Laffont
Pavillons Poche
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- RO30355407: 2015. In-12. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 521 pages. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
- État de l'exemplaire
- Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni
- Format
- In-12
- Reliure
- Broché
20.90 (Occasion)
À l'occasion de l'anniversaire des trente ans de la parution de La Servante écarlate, les Éditions Robert Laffont rééditent ce titre phare dans la collection « Pavillons poche » avec une préface inédite de Margaret Atwood.
La « servante écarlate », c'est Defred, une entreprise de salubrité publique à elle seule. En ces temps de dénatalité galopante, elle doit mettre au service de la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, son attribut le plus précieux : sa matrice. Vêtue de rouge écarlate, elle accomplit sa tâche comme une somnambule, et le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps ou les femmes avaient le droit de lire, d'échanger des confidences, de dépenser de l'argent, d'avoir un travail, un nom, des amants... Defred doit-elle céder à la révolte et tenter de corrompre le système ?
L'on pourrait qualifier La Servante écarlate de beaucoup de choses : féroce, engagé, lugubre... mais aussi pénétrant et terriblement sensé. Margaret Atwood y réussit l'exploit de transformer le bizarre, l'absurde et l'improbable en une nouvelle sorte de quotidien.
Margaret Atwood est un grand écrivain mais aussi, à plus d'un titre, un personnage qui fascine. Elle est connue pour ses prises de position humanitaires, écologistes et politiques. La Servante écarlate, cette « utopie négative » qui n'est pas sans rappeler 1984 de George Orwell, reste l'un de ses hauts faits d'armes dans le combat qu'elle a mené et continue de mener pour la femme. Sans doute son chef-d’œuvre.
La « servante écarlate », c'est Defred, une entreprise de salubrité publique à elle seule. En ces temps de dénatalité galopante, elle doit mettre au service de la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, son attribut le plus précieux : sa matrice. Vêtue de rouge écarlate, elle accomplit sa tâche comme une somnambule, et le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps ou les femmes avaient le droit de lire, d'échanger des confidences, de dépenser de l'argent, d'avoir un travail, un nom, des amants... Defred doit-elle céder à la révolte et tenter de corrompre le système ?
L'on pourrait qualifier La Servante écarlate de beaucoup de choses : féroce, engagé, lugubre... mais aussi pénétrant et terriblement sensé. Margaret Atwood y réussit l'exploit de transformer le bizarre, l'absurde et l'improbable en une nouvelle sorte de quotidien.
Margaret Atwood est un grand écrivain mais aussi, à plus d'un titre, un personnage qui fascine. Elle est connue pour ses prises de position humanitaires, écologistes et politiques. La Servante écarlate, cette « utopie négative » qui n'est pas sans rappeler 1984 de George Orwell, reste l'un de ses hauts faits d'armes dans le combat qu'elle a mené et continue de mener pour la femme. Sans doute son chef-d’œuvre.
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